1. Black Fluo


    Datte: 02/07/2024, Catégories: fh, couple, couplus, candaul, Collègues / Travail piscine, fête, amour, Oral pénétratio, fsodo, jeu, confession, totalsexe, libercoup, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... visage de mon épouse se tourner vers moi. J’entends un « Oui ». Je comprends la question posée alors que Marlène se penche vers moi et ce « Oui » sonne comme une libération.
    
    Ses lèvres sentent encore le plaisir musqué de mon épouse. Moi je n’ai pas la timidité de mon épouse. Ma langue va au-devant de l’autre. Ma main montre ma résolution en attirant la tête de Marlène vers moi. Baiser fougueux, à la hauteur de mon envie. Quel homme après avoir assisté à deux jouissances ne serait pas impatient ! Mon sexe est un bâton depuis si longtemps qu’il en est presque douloureux.
    
    Elle a l’autorisation. Elle en profite. Je suis le premier intéressé. Sa bouche ne s’attarde pas. Sa main a effleuré ma bite. Elle ne sert que d’avant-garde. Mon sexe me paraît moins ridicule, tendu comme il est. Le Black fluo qui l’habille le met en valeur. Déjà, les lèvres en goûtent la texture. J’exprime sans aucune honte ce plaisir de voir mon gland se faire manger par cette bouche que j’ai vue à l’œuvre avec mon épouse et que j’espère gourmande.
    
    Je me penche vers Adèle qui regarde et, d’un souffle, d’un mot, déjà pressé de retourner vers ma suceuse, je dis :
    
    — Merci.
    
    Elle regarde. Comme moi, elle voit mon bâton disparaître lentement entre deux lèvres qui paraissent s’ouvrir sur un abîme sans fond.
    
    Que pense-t-elle lorsqu’elle constate, comme moi, que Marlène sait me gober presque totalement ?
    
    Que pense-t-elle lorsque ce sont mes bourses qui roulent comme des galets dans une bouche ...
    ... soyeuse ?
    
    Que pense-t-elle lorsqu’elle voit un ongle disparaître dans mon petit trou ?
    
    Bien vite, un clapotis sensuel se détache de mon mandrin. Musique céleste, précurseur du paradis.
    
    De longues secondes, Marlène me pompe. J’ai saisi la main de mon épouse pour lui faire partager ce bonheur d’une gorge gourmande. Ainsi nous restons liés même dans l’échangisme. Cette main me permet aussi de résister à l’envie que j’ai de juter dans cette gorge. Je n’oublie pas que celle qui est à mes pieds est ma patronne.
    
    Je pose un rapide baiser sur les lèvres de mon épouse pour lui montrer que je suis encore avec elle et que si une autre me pompe, elle reste mon épouse, mon amante, ma maîtresse.
    
    Mais un bruit attire mon attention. Mon attention mais aussi celle d’Adèle. Un homme est là, devant nous, devant elle. Même sans bracelet, on sait que c’est un homme. Son sexe parle pour lui. Mandrin en érection quasi horizontale, protubérance d’un corps invisible, plus noir que noir. C’est probablement Georges. C’est Georges !
    
    — Je suis heureux que vous soyez venus.
    
    C’est sa voix. Il ne dit rien d’autre. Il ne demande rien d’autre. Il n’attend pas de réponse. Il propose et c’est tout.
    
    Est-ce que ma femme pense comme moi ?
    
    Est-ce qu’elle entend le silence assourdissant de cet homme ? Un silence que l’on pourrait meubler par un :
    
    Ma femme t’a fait jouir. Pour l’instant, elle suce ton mari. Ce ne serait que justice que le verbe « échanger » s’applique maintenant. Ton mari ...
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