Confessions de femmes mûres (3) Françoise (49 ans)
Datte: 27/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... escarpins qui ont échoué dans le couloir et je me suis allongée sur mon lit en string. Il m'a longuement regardée et j'ai eu un petit moment d'angoisse. Et si mon corps de quasi quinquagénaire, ainsi complaisamment dévoilé, le faisait "régresser". J'ai vite été rassurée : il bandait toujours comme un cerf en se déshabillant à son tour, révélant un corps sec et musclé, un ventre plat surmontant la fabuleuse excroissance qui lui faisait comme une corne. Il a tiré sur mon string et a collé sa bouche sur ma vulve, me faisant me tordre sur mon lit, mes mains sur sa chevelure.
Et il m'a pénétrée. Enfin. Au début, c'était du classique. Mains posées de chaque côté de ma tête, les yeux dans les yeux, mes talons sur ses reins et son cul virevoltant. J'étais tellement humide que j'avais parfaitement encaissé cette pénétration massive, puissante, profonde. Je ne m'étais jamais sentie autant baisée, de mémoire. Il avait de la pratique, le gaillard. Sa fouille était mesurée pour ne pas jouir trop vite et néanmoins bien raboteuse. Il m'avait saisi les chevilles pour les écarter et la rendre encore plus efficiente. J'essayai de remuer mon cul pour bien lui signifier mon adhésion, pour qu'il n'ait pas l'impression d'une femme passive. Mais la poursuite de nos ébats l'a largement rassuré sur ce point.
Son endurance magnifique nous a permis de ...
... faire largement le tour de la question. Je l'ai baisé comme il me baisait en cavalant sur sa bite. Je lui ai offert ma croupe en me mettant à quatre pattes et je n'ai manifesté aucune objection quand il a voulu m'enculer, lui demandant juste de mettre langue et doigts avant. Combien de temps ça a duré, tout ça ? Je ne sais pas. Il a eu l'amabilité de jouir quand il a vu que je n'étais plus moi-même, que je braillais des insanités, que j'étais couverte de sueur, la bouche tordue par le plaisir et les yeux vitreux.
J'ai mis du temps à récupérer mais lui a rechargé à une vitesse incroyable. Il est resté dormir mais je sentais dans mon lit sa queue raide contre mes fesses nues et au petit matin, fier comme Artaban, il m'a rebaisée longuement, fougueusement, comme s'il avait longtemps attendu le moment. Jamais je ne m'étais sentie aussi femelle. On est reparti au boulot ensemble, chacun de son côté, le corps repu, apaisé.
Depuis, il est mon amant. Je ne lui demande pas une fidélité absolue. J'ai bien conscience que son jeune âge et le mien ne vont pas bien ensemble hors du lit. Je demande juste qu'il me baise de temps en temps. Je suis tellement folle de sa queue. Je crains juste que cette folie érotique me fasse faire des bêtises un jour. Mais pour l'instant, laissez-moi jouir. Après tout, je ne trompe personne.
A SUIVRE