Confessions de femmes mûres (3) Françoise (49 ans)
Datte: 27/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
Je m'appelle Françoise, j'ai 49 ans, je suis rousse tendance auburn, prof d'université et divorcée depuis cinq ans. Mon corps est celui d'une femme de mon âge, un peu de cellulite qui accentue mes rondeurs mais comme je suis grande, c'est plutôt bien réparti, je trouve. Si je prends la plume, c'est pour raconter une histoire peu banale, du moins à mon sens. J'étais à mon bureau à la fac quand un étudiant a frappé à la porte et est entré. J'en reçois souvent pour discuter de leurs études mais celui-là ne venait pas pour parler boulot. Il m'a tutoyée d'entrée, ce qui m'a fort surpris et m'a dit :
- Tu ne me reconnais pas ? Je suis Alex, Alexandre si tu préfères, le fils de Jean-Michel et Nadège, vos amis à toi et ton mari.
Un flash est entré dans ma tête. Mais oui, bien sûr, Alex, le garçon de mes anciens collègues que j'avais perdus de vue et que j'avais longtemps fréquentés à mes débuts, quand j'étais en demande de conseils avec Bernard, mon futur mari, dans le même cas. J'avais trente ans et lui une dizaine d'années. Il me dévorait des yeux au point que j'en étais parfois gênée. Je portais souvent des mini-jupes ou mini-robes et il se plaçait de telle manière qu'il puisse voir mon entrecuisses. Une fois, j'avais oublié de mettre une culotte et je m'en étais aperçue en voyant son visage écarlate en face de moi. J'avais vite fermé mon compas mais je m'étais dit alors que j'avais sûrement contribué à quelques pollutions nocturnes... Tout cela me revint en mémoire ...
... face à ce beau gaillard chevelu, légèrement barbu, aux biceps apparents sous le tee shirt, qui n'avait plus rien à voir avec le gamin voyeur.
- Mais bien sûr, Alex, que tu as changé.
Et bla bla bla et bla bla bla. Je vous passe les détails de notre conversation, sur ses études en cours, déjà très avancées mais pas dans mon domaine, sur ses parents, sur nos fréquentations passées. Je dus cependant lui avouer que je ne vivais plus avec Bernard, ce qui le peina. Et qu'il n'avais pas été remplacé, ce qui alluma dans son regard une petite étincelle qui me donna à penser. Je sus alors qu'il me désirait, peut-être pas la femme actuelle mais celle qu'il avait connue dans son enfance. On convint de dîner ensemble le soir même puisqu'il était libre et moi aussi. Mais pas au restaurant : chez moi.
Allez, je vais vous l'avouer : j'ai eu immédiatement envie de baiser avec ce beau gaillard à la virilité exacerbée. Mettez-vous à ma place. Depuis mon divorce, je suis sexuellement soumise à la portion congrue, si j'ose dire. A part les premiers mois de la séparation où j'ai papillonné de manière assez indécente avec les premiers venus, je n'ai assouvi mes pulsions qu'avec un gode à piles introduit dans le grand et le petit trou dans mon lit déserté. Je m'étais faite à l'idée de me ranger des voitures alors que j'abordais mon demi siècle. J'étais bien un peu draguée par quelques collègues comme moi esseulés ou excités par ma liberté mais ne voulant pas mélanger sexe et travail, surtout ...