1. Confessions de femmes mûres (3) Françoise (49 ans)


    Datte: 27/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... avec des hommes aussi peu désirables, je faisais mon bonheur moi-même. Mais mes nuits étaient peuplées de rêves érotiques avec des mâles de toutes couleurs supérieurement membrés. Ma libido n'était donc pas totalement éteinte. Et voilà qu'Alex surgissait dans ma vie.
    
    Je ne me suis pas trop tracassée pour le dîner. J'ai commandé sushis et pizzas à Uber eats, sorti une vieille bouteille offerte par un ancien étudiant et me suis mise sur mon trente et un : maquillage, robe de soirée un peu bizarre dans cet environnement domestique, décolletée jusqu'aux reins, fendue à la cuisse, escarpins (tant pis pour les voisins du dessous), évidemment pas de soutif à cause du décolleté mais j'ai de petits seins pointus qui peuvent s'en passer, et enfin le seul string de ma collection de culottes afin de libérer mes fesses joufflues sous la robe ajustée. Je me suis regardée dans la glace : j'étais vraiment sexy, pour ne pas dire provoquante.
    
    Il est arrivé avec un beau bouquet de fleurs et pour la première fois, je l'ai embrassé. Sur la joue, en effleurant ses lèvres. J'ai bien vu que je l'avais émoustillé avec ma tenue. Mes seins libres dansaient la samba sous la robe à chaque allée et venue. Et quand je me suis assise à l'apéro en face de lui, en attendant mon Uber, j'ai retrouvé le regard du garçon qui épiait mon entrecuisses quelques années plus tôt. Je les écartais négligemment à chaque croisement de jambes, imaginant dans sa tête le flash de mon string rouge et peut-être quelques ...
    ... poils follets s'en échappant car je ne me rase pas le pubis. C'était drôle de discuter de choses banales alors que lui et moi pensions alors à la même chose : le sexe, le cul, la baise. Il avait deviné que j'étais en manque depuis que je lui avais avoué vivre seule, ce qu'il pouvait d'ailleurs vérifier.
    
    Le dîner est arrivé et nous avons parlé face à face dans une montée de désirs de plus en plus manifeste. Il regardait mes seins bouger, je regardais ses lèvres en les imaginant sur mon sexe. C'est dans la cuisine, à la fin du repas, que tout s'est enclenché. Il est venu dans mon dos pendant que j'effectuais une vaisselle sommaire, a glissé ses mains sous ma robe pour prendre mes seins et m'a embrassée dans le cou. Immédiatement, ma main s'est posée sur sa braguette et j'ai senti avec un frémissement de tout le corps le poids de ses parties génitales. Je me suis retournée, on s'est embrassé fougueusement avant que je m'accroupisse, là, dans la cuisine, et que je libère son pénis pour l'emboucher.
    
    Merveilleuse vision que de membre viril surgi du slip. Le meilleur moment de l'amour féminin, selon certaines. J'ai fait valoir toute ma technique, la succion assortie d'un mouvement tournant d'une main et une pression sur les couilles de l'autre. Ce n'était plus un pénis que j'avais stimulé : c'était un véritable os pénien. Je n'avais plus qu'une envie : c'est que ce membre aille me visiter.
    
    J'ai tiré Alex dans ma chambre en me débarrassant en même temps de ma robe et de mes ...