L’arrivée au Domaine
Datte: 25/06/2024,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... choisit de se concentrer sur ce qu’elle voyait du jeune corps qui se tenait devant elle.
Aloïse avait la taille bien faite. Les hanches s’y raccordaient…(On écarte mes lèvres…)
Les hanches se raccordaient harmonieusement à la taille…(Un doigt s’agite dans ma chatte…)
Les cuisses d’Aloïse étaient joliment fuselées…(Un autre doigt, peut-être deux…)
Oui, fuselées, mais musclées, semblait-il. Elle aurait aimé les toucher…(Encore deux doigts, plus fins ceux-là…)
Elle aurait aimé caresser les cuisses d’Aloïse, pour se rendre compte…(Oh non ! Pas là…)
La peau devait être douce, soyeuse…(Mon Dieu, je vais partir !)
Elle n’avait pas de cellulite, elle !(Il n’y a plus de doigt… je vais y arriver…)
Mais pourquoi ce cadenas ? Il avait l’air lourd…(À nouveau un doigt, non, deux…)
Était-ce une punition ?(Trois ! Ils me griffent… J’ai mal…)
Ses genoux étaient mignons, ses mollets aussi…(Ça s’est arrêté, la douleur s’en va…)
Elle devait avoir une petite chatte : même avec ce poids, les lèvres dépassaient peu…(Encore deux doigts ! Combien de pénétrations ça fait ? J’ai perdu le compte…)
Mais ce cadenas… Il traversait les lèvres. Elle avait dû souffrir terriblement quand on le lui avait posé…(Ces doigts sont plus gros, je crois, et plus rugueux…)
Est-ce que Aloïse souffrait toujours ? Est-ce qu’elle pourrait le lui demander ?(Les doigts se retirent. Ils avaient été plus délicats, ceux-là, presque tendres…)
Elle ressentit un vide. Le désir de jouir ...
... était toujours là, mais moins taraudant. Colette se dit qu’elle retrouvait un début de maîtrise de soi, qu’elle recevrait tout de suite l’autorisation de se redresser. La fatigue se faisait de plus en plus présente. Malgré ses efforts, elle appuyait lourdement ses épaules dans les mains d’Aloïse. Cependant, elle avait réussi à se contenir, elle en était fière. Et ce serait bientôt fini, elle en était sûre. D’ailleurs, elle entendait la voix de madame Ève.
— Ah, Colette… Vous êtes étonnante ! Vous avez abondamment dispensé votre mouille à ces dames et votre production vaginale est toujours aussi profuse… Dommage que votre manque de tonus ait privé Aloïse d’y goûter. Permettez-moi de remédier à cette lacune.
Les doigts d"Ève, quatre peut-être, s’enfoncèrent brutalement loin dans la chatte de Colette, ravivant d’un seul coup l’excitation. Ils se ployèrent, se déployèrent, tournoyèrent, fouillèrent sur un rythme fou. Colette se mordit les lèvres. C’était trop, leur gigue endiablée portait la stimulation au-delà du supportable. L’orgasme devenait incoercible. Elle capitula.
Ses jambes tremblaient, son ventre se nouait et dénouait, sa peau frissonnait, son regard se troublait, Colette pleurait. Elle s’affaissa comme une loque. À travers ses larmes, elle devinait la main distinguée qui donnait une becquée gluante à Aloïse, la bouche gracile qui suçait docilement chaque doigt, et qui revenait sur chacun pour ne rien négliger. Un dernier frémissement la parcourut. Elle se lova en ...