1. L’arrivée au Domaine


    Datte: 25/06/2024, Catégories: ff, fff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... supposition du geste avait déclenché une série de spasmes internes dont la manifestation externe s’écoulait en gouttes nacrées. Elle n’en avait plus cure, le stade le plus bas de sa dignité était depuis longtemps dépassé.
    
    — Je constate que vous êtes de moins en moins économe de vos fluides sexuels, se moqua ouvertement sa tourmenteuse. Quant à la danse, nous ne devons guère espérer mieux, je le crains ! Hé bien, reposez-vous, Clémence et Aloïse vont vous laisser retrouver vos forces.
    
    Restée seule, Colette reprit d’elle-même l’attitude de soumission qui convenait à sa situation. Le cœur lui battait, le souffle lui manquait, les seins lui pesaient, le ventre lui brûlait, la tête lui tournait. Elle observait vaguement, comme dans un rêve, les mimiques que s’adressaient ses examinatrices. Elle ne cherchait pas à en deviner le sens, elle le connaissait. Elle méritait ces railleries muettes, son corps lui répugnait.
    
    On lui expliqua qu’il restait encore une petite chose à voir. Elle ne demanda même pas quoi. On lui demanda si elle voulait bien s’y prêter. Elle acquiesça servilement. À quoi bon refuser ?
    
    On lui indiqua de se tourner et de se pencher en avant. Elle se dit : nous y voilà ! Je le savais.
    
    On la pria d’ouvrir ses fesses. Elle le fit, des deux mains, de bon gré. Si on voulait voir son trou du cul et sa chagasse, qu’on les regarde ! Qu’on les détaille de près ? Elle s’en fichait ! De toute façon, elle vacillait, elle allait tomber, se ridiculiser ...
    ... définitivement.
    
    Aloïse fut à nouveau expédiée en urgence pour la retenir. Elle s’en remit à nouveau à cette gamine, dont les mains étaient douces et fermes, qui sentait bon, qui respirait la fraîcheur de la jeunesse, qui était sans doute la servante du groupe, et dont se dégageait pourtant une assurance tranquille qui la rassurait. Elle eut un pauvre sourire de remerciement, tira plus fort sur ses fesses et ferma les yeux.
    
    — Merci, Colette. C’était parfait, se fendit madame Ève d’une voix suave. Maintenant, me feriez-vous le plaisir d’écarter plus largement vos pieds et de mettre les mains sur vos chevilles ? N’ayez crainte, Aloïse vous retiendra, s’il le faut.
    — Comme cela, Madame ?
    — Oui, très bien… Dites-moi, Colette, ces dames seraient heureuses de savoir si cette mouille dont vous êtes prodigue joint la qualité à la quantité. Vous n’y verriez pas d’inconvénient ?
    — Non, bien sûr, Madame.
    — C’est gentil à vous.
    
    On allait la fouiller, c’était merveilleux et dramatique ! L’envie, non, le besoin de jouir la tenaillait. Des doigts dans son con, elle n’espérait que ça. Mais, jouir là, comme une salope, devant toute la maisonnée de Ève L*, ne serait-ce pas commettre l’erreur irréparable, s’enferrer dans un piège qui la ferait rejeter ? Pourrait-elle se retenir pour l’éviter, alors que sa chair et ses sens désiraient par-dessus tout y succomber ? Se raidir ne servirait à rien. Il fallait trouver un dérivatif, détourner son esprit des pénétrations qu’accueillerait son sexe. Elle ...
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