Cueillir l'instant... - Histoires de Sexe

Cueillir l'instant...

... dire.
— Je ne voulais pas vous fâcher. Les vidéos, c’étaient comme un appel.
— Qu’est-ce que tu racontes ?
— Si j’ai pris italien en option, c’est pour vous.

Et il me fait une véritable déclaration. Qu’il avait flashé sur moi, qu’il aimait tout chez moi, ma façon de parler, de m’habiller, mon physique. Je le canalise tant bien que mal quand il ajoute :

— Et la vidéo, c’était aussi pour vous montrer que j’ai une belle bite !

J’en suis scotchée, il en profite pour baisser son bermuda, rien dessous. Son sexe jaillit, il est déjà bien épanoui.

À cet instant, j’entends Téa.

— Ça, c’est la meilleure, qu’est-ce que vous faites avec Lucien ?
— Mais rien du tout !
— Heureusement que j’ai eu le réflexe de faire une vidéo en arrivant, on verra que je n’invente pas. Et c’est vous qui nous faites des leçons de morale ! Quand les gens verront ça, ça va faire du grabuge.

La garce, elle a raison. J’aurais du mal à me justifier et, même si j’y arrive, je traînerais une sacrée casserole. Ils m’ont piégé.

— Téa, donne-moi ce téléphone immédiatement. Et toi, Lucien, rhabille-toi.

Lucien intervient :

— Téa, laisse-moi ton téléphone, je gère.

Nous nous retrouvons seul à seul.

— Téa est vraiment colère, je lui laissais son téléphone, elle postait la vidéo sur le groupe WhatsApp du voyage.

Je blêmis. Sur ce groupe sont connectés les participants du voyage, des parents, le proviseur…

— Donne ce téléphone.
— En échange de quoi ?
— OK, je m’excuse, je ...

... n’aurais jamais dû parler de vous séparer, c’était idiot. On oublie tout.
— Vous croyez que c’est suffisant ?
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Une petite pipe.
— Mais c’est du délire !
— Vous vouliez nous emmerder ? Et bien nous, on peut vous foutre dans une merde noire.
— …
— C’est pas compliqué, je laisse le téléphone sur la table, quand c’est fini, on efface tout.

Sinon, je rends le téléphone à Téa.

Il en a profité pour virer son tee-shirt. Tranquillement, il range ses vêtements sur une chaise, sa nudité ne lui pose aucun problème. Il se place devant moi, commence à se masturber. Comme l’avait dit Camille, il est bien monté.

— Elle ne vous plaît pas ma bite ?
— Le problème n’est pas là.
— Non, mais c’est la solution.

Il me prend une main, la pose sur sa queue.

— C’est pas si compliqué. Elle est comment ?
— …
— Parlez plus fort, Madame Joliet, je ne vous entends pas.

J’en ai marre :

— Elle est dure, elle est grosse, c’est pas une queue de gamin de 12 ans.
— Alors, qu’est-ce que vous attendez pour me sucer ?

Je me décide, je cède au chantage, mais je ne vois pas d’autre voie de sortie. Sucer n’est pas un problème, mes copains n’ont jamais eu à me forcer, bien au contraire. Et comme je veux aller vite, j’y mets tout mon savoir-faire. La queue dans la bouche, la langue en action, une main à masser les couilles, l’autre à le branler à grands coups.

— Ah, Madame Joliet, vous au moins, vous savez sucer les bites…

Le salaud, sa queue a bien grossi, ...