1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... de la contempler, et tout y est passé, son adorable petit cul, sa si jolie chatte aux lèvres étroitement closes, ses seins si admirablement dessinés…
    
    — Laisse-nous te faire l’amour, nous t’en supplions… Ne nous oblige pas à te tenir, nous ne voulons pas te faire de mal…
    
    Bien entendu, elle ne s’est pas laissé faire, mais cela n’a rien changé, les trois hommes l’ont prise à la chaîne… Mais encore une fois, sans brutalité, sans violence, sans insultes… Et tandis qu’ils la pénétraient, elle avait remarqué à quel point ils étaient beaux et bien bâtis… Certes, ils n’étaient pas dignes de sa beauté, mais ils étaient loin d’être repoussants… Et à chaque instant, ils s’excusaient, la suppliaient de leur pardonner, qu’ils n’étaient que des misérables qu’elle avait envoûtés et qu’elle avait rendus totalement incapables de se contrôler…
    
    Et quand tout a été fini, ils ont rampé à ses pieds… Lui ont demandé une fois encore, les yeux pleins de larmes, de bien vouloir les pardonner même s’ils ne le méritaient pas… Qu’ils iraient d’eux-mêmes se livrer à la police tellement ils avaient honte de l’avoir sali de leurs mains…
    
    Alors, Alyssa s’est rhabillée et est rentrée chez elle…
    
    Eh bien non, Alyssa n’est pas rentrée chez elle pour la bonne raison que cela fait des mois qu’elle n’a plus le droit d’en sortir… Et lorsqu’elle le faisait, le harcèlement dont elle était victime n’était pas celui sur lequel elle vient de fantasmer : non, pour elle, c’était plutôt les insultes, les ...
    ... regards dédaigneux et les crachats… Bref, tout ce qui fait le quotidien des femmes voilées.
    
    Ils la font bien rire, tous ces gens de la télé qui ne cessent de défendre le port du voile comme étant un droit inaliénable ! C’est sans doute vrai mais il faudrait aussi s’assurer que certaines de ces femmes ne le font pas par obligation, juste pour ne pas se faire cogner comme c’est son cas, par tous les représentants masculins – père, frères, oncles, grands-pères – de leur entourage, comme c’est le cas pour Alyssa.
    
    En attendant, son vrai rêve à elle, c’est de tomber sur un « vrai français » qui l’emmènera loin de toute cette famille qui l’étouffe et avec qui elle pourra enfin enfiler l’une de ces légères petites robes d’été qui la font tant rêver… Et qui, pourquoi pas, la laissera bronzer en bikini sur une plage de sable blanc, une coupe de champagne à la main… Et peu importe si, à la suite de cela et au détour d’une balade, quelques mains baladeuses s’aventuraient sur des formes gracieuses.
    
    Mais pour ce dernier point comme pour le reste, ce n’est malheureusement pas pour demain.
    
    Joséphine
    
    — Bon, faisons court, Mathieu : aimerais-tu coucher avec moi ?
    
    Le garçon, qui n’en est pourtant pas à son coup d’essai, est un poil décontenancé… Ce coup-là, on ne lui a jamais fait ! En plus, Joséphine fait partie des plus jolies filles de la fac, qui ne compte pourtant pas beaucoup de laiderons. Il essaie de ne pas perdre complètement pied.
    
    — Attends, tu t’es regardée ? Tu ...
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