1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... produit.
    
    Au final, James n’en a jamais vraiment voulu à son accusatrice… À sa place, qu’aurait-il fait, devant un tel paquet de fric ? Il n’en sait rien… Par contre, il nourrit encore aujourd’hui une haine féroce envers le système et les bien-pensants pour qui, dans ce genre d’affaires, tout est forcément d’une extrême limpidité… Même si, à quinze jours près, tout aurait pu être différent.
    
    Alyssa
    
    Alyssa a vingt ans et elle n’est pas belle, elle est proprement ravissante. Tout en elle est parfait ou presque : son regard de braise, son visage sans défaut, sa taille de guêpe, ses jambes de déesse, ses longs cheveux soyeux qui lui tombent jusqu’en bas des reins… Elle a beau faire et s’habiller comme elle le veut, même de la façon la plus ordinaire, elle rend les femmes folles de jalousie tandis que les hommes n’en finissent plus de baver sur son ravissant minois et sur ses courbes graciles.
    
    Sa vie est un enfer : elle ne peut pas se balader dans la rue sans que des sifflets fusent de tous côtés et qu’elle ne reçoive des propositions plus ou moins salaces de tout ce qui ressemble à un représentant du sexe masculin. Quant aux transports en commun, elle n’en parle même pas : elle a constamment droit à un florilège de mains baladeuses qui s’attardent sur son cul magnifique ou sur sa poitrine somptueuse. Et malheur à elle si elle tente de s’habiller autrement qu’en jean, la dernière fois qu’elle a osé mettre une jupe et qu’elle a pris le métro, elle a eu beau distribuer ...
    ... les gifles, au moins quatre ou cinq mecs ont réussi à attraper sa culotte et à lui déchirer au beau milieu de ce wagon bondé. Elle est rentrée chez elle le cul à l’air et la boule au vente, se promettant de ne plus porter ce genre de vêtements qui la mettent vraiment en danger.
    
    Mais cela n’a pas suffi… Hier, alors qu’elle revenait de son jogging, trois jeunes garçons lui sont tombés dessus. Ils ne l’ont pas insultée, pas frappée, mais ils l’ont tout de même entraînée dans un sous-bois où ils avaient préparé un endroit douillet bien à l’abri des frondaisons. Avec la température qu’il faisait, pouvoir rester à l’ombre était précieux ! Là, avec fermeté mais sans véritable brutalité, ils l’ont allongée sur cette couche pas vraiment improvisée et, pendant que l’un d’eux lui tenait les bras, l’autre lui a ôté ses chaussures ainsi que son pantalon de course. En voyant apparaître ses ravissants compas, ils n’ont pu retenir un petit sifflet d’admiration.
    
    — Excuse-nous, tu es trop belle… Tu nous rends fous, tu sais cela ? Nous sommes désolés mais cela fait trop longtemps que tu nous tortures… Ce n’est pas humain d’être merveilleuse à ce point…
    
    Lorsque son petit haut est allé rejoindre le reste et que l’un des garçons l’a soigneusement plié, elle a compris qu’elle n’avait pas affaire à des violeurs ordinaires…
    
    — Laisse-nous te regarder… Ne crie pas, ne te sauve pas, tu es tellement éblouissante…
    
    Alors, espérant sans doute que l’affaire en resterait là, Alyssa leur a permis ...
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