1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... connais beaucoup de garçons qui te diraient non ? Tu es ravissante !
    — Merci… Mais pour cela, il faudrait que tu me rendes un petit service.
    — Lequel ?
    — Je voudrais que tu te débrouilles pour me ramener Anastasia ici… J’ai deux mots à lui dire.
    — Ah bon ? On peut savoir ce que tu lui reproches ?
    — Elle fait courir le bruit que je suis une salope qui couche avec n’importe qui. Et ça, tu vois, ça me tape un peu sur le système.
    
    Quand un homme traite une femme de salope, c’est généralement et précisément, parce qu’elle refuse d’en être une… Et accessoirement que l’on a affaire à un abruti fini, mais ça, c’est un autre sujet. Mais quand c’est une femme qui en qualifie une autre de ce charmant sobriquet, les raisons sont plus variées… La plus courante étant la jalousie, l’une enviant la liberté de corps et d’esprit de l’autre et bien souvent, la réussite qui va avec.
    
    — En même temps, tu es très loin d’être la seule à y avoir droit… C’est le traitement qu’elle réserve à toutes les filles qui passent à sa portée, et encore un peu plus lorsqu’elles sont mignonnes comme toi.
    — Sans doute, mais les autres, tu vois, elles font ce qu’elles veulent ! Non, j’aimerais juste que tu la ramènes ici… Ou chez toi, ça ira bien aussi.
    
    Bien que préoccupé, Mathieu sourit. Ce plan a beau sentir l’embrouille à cinquante pas, la perspective de mettre Joséphine à l’horizontale est un aiguillon loin d’être négligeable.
    
    — D’accord, mais tu sais comment elle est ! Tu la dragues, elle ...
    ... fait mine de s’intéresser à toi jusqu’à ce qu’elle te colle un vent de tous les diables… Et ensuite, elle vient te faire une crise de jalousie parce t’as osé passer à autre chose et sortir avec une autre nana !
    — Oui, je sais, c’est pas gagné, mais je crois que le jeu en vaut la chandelle, je n’ai qu’une parole.
    
    Encore une fois, Joséphine est un enchantement et beaucoup seraient prêts à se damner juste pour passer un bon moment avec elle.
    
    — Hé ! Tu ne vas rien faire de mal, hein ! Je n’ai pas envie de me retrouver complice d’un meurtre ou d’une connerie comme ça !
    — Ça, je peux te le promettre… Je ne lui ferai pas de mal.
    
    Le garçon hausse les épaules.
    
    — Si tu le dis… Et pour ma récompense, tu comptes t’y prendre comment ?
    
    Même s’il s’est retrouvé à la rue quelques instants, Mathieu n’en a pas pour autant complètement perdu le nord.
    
    — Assied-toi, tu vas comprendre…
    
    Ça, pour comprendre, il comprend vite, le gaillard ! Joséphine vient de s’agenouiller devant lui et, d’un geste précis, elle a extirpé le sexe du garçon de sa prison de toile et, le temps qu’il réagisse, le voilà déjà tout au fond de sa gorge. Il en voit trente-six chandelles ! Elle pompe, elle pompe, elle pompe… Et c’est d’ailleurs presque avec difficulté qu’il parvient à la décoller de sa queue.
    
    — Hé ! Du calme ! Tu vas me tuer !
    
    De fait, elle vient de le sucer avec une telle vigueur qu’il a l’impression que s’il l’avait laissée faire, elle lui aurait carrément dénoyauté les baloches bien ...
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