Truckers 3
Datte: 13/06/2024,
Catégories:
fhh,
collection,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Masturbation
facial,
fgode,
fsodo,
confession,
roadmovie,
totalsexe,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... talons résonna, une des trois portes des toilettes femmes s’entrebâilla pour me laisser entrer.
Titi et Maurice, pantalon sur les chevilles, dans une cadence commune et mesurée, astiquaient leur sexe dur et de bonne taille.
Pour faire vite – car nous manquions cruellement de temps – on pourrait aisément schématiser Titi et Maurice comme le petit gros et le grand maigre. Curieusement, leurs membres étaient quasiment jumeaux. Mais la génétique est surprenante, n’est-ce pas ?
On rabattit le loquet de la porte, alors même que je dégrafais ma robe d’un geste ample et rapide. Mes seins se dressaient comme deux étendards. Les deux hommes s’y affairaient déjà, les tétant chacun, tandis que des doigts s’insinuaient dans ma chatte et dans mon cul. Je jouissais silencieusement en serrant mes mains sur les deux bites collées à mes cuisses.
Les deux hommes parlaient entre eux, entre eux et hors de moi.
— Elle est belle, la salope !
— Ah oui, et elle doit sucer.
— C’est sûr, elle doit te défoncer la bite.
— Hein, petite pute(le terme est pour sûr inapproprié, car vous me savez au-delà du mètre soixante-dix, bon bref), on va te le bourrer ton cul de salope !
La tension montait, nous étions en cadence et synchronie. Je les branlais au rythme où ils me doigtaient. Puis sachant le temps compté, je m’inclinais vers la bite sombre de Maurice tandis que j’aguichais celle de Titi avec mon cul.
Comme dans un geste simultané, l’un pénétra violemment mon cul alors que, ...
... follement agrippé à mes cheveux, l’autre rentra sa queue jusqu’à la garde de ses couilles dans ma bouche.
Le train derrière devant allait avec une vigueur saccadée. Les larmes de mon plaisir m’inondaient le visage.
Rapidement et presque sans temps mort, Maurice prit le contrôle de mon cul et Titi de ma bouche. J’aimais que le miroir métallique me renvoie l’image un peu déformée de mon corps pistonné et forcé. Ma jouissance orgasmique atteignait son paroxysme.
Maurice fit valdinguer ma robe et massa mes seins brutalement. Le temps filait follement.
— Giclez-moi dedans ! Allez, mes salauds, giclez dans mon cul !
À ces mots encourageants, Maurice engorgea mon trou et se branla sur mes reins. Le sperme de Titi gonflait mes joues. Je recrachais ce que je ne pouvais avaler sur ses couilles et les suçais à grandes aspirations – cette technique de finition est très prisée par les hommes, mesdames. Le jus visqueux s’agglomérait à la commissure de mes lèvres. Puis à genoux, le corps vertical et les seins tendus, j’accueillis leurs bites sur mon corps, me frottant les tétons de leurs glands.
Les deux hommes presque sans voix sous la jouissance me traitaient de salope, de sale pute… « Hein, Titi c’est une sacrée salope, cette pute ! », et l’autre de le redire en écho, et cette phonétique-là, vous le savez, me rend folle. Je pissais sur le carrelage et le bruit sec redoublait mon orgasme. J’écartais largement les cuisses en appui contre le lavabo métallique et froid.
Ils me ...