1. Truckers 3


    Datte: 13/06/2024, Catégories: fhh, collection, fsoumise, hdomine, humilié(e), Masturbation facial, fgode, fsodo, confession, roadmovie, totalsexe, Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe

    ... quelques échanges, j’ai pu monter ce petit scénario, simple au demeurant, mais non dénué d’efficience.
    
    Nous étions Marc-Antoine et moi en direction de Lyon – Lyon est une ville où Marc passe une partie non négligeable de sa vie –, je l’y accompagnais pour la bonne et agréable raison de participer comme chaque année au Lyon Urban Trail tandis que mon amour jouerait à nouveau sa vie professionnelle, et la prochaine aire de repos était à peine à une bonne vingtaine de kilomètres.
    
    Emportée depuis le départ par une fébrilité qui s’allait exponentielle, j’envoyais discrètement le SMS, consigné depuis la veille dans mes brouillons, à Maurice et son frangin Titi l’Asphalte(actif sur le blog, mais au final plus par son anatomie verticale).
    
    Pour Marc, j’invoquais la vessie exigeante des filles et le changement de tampon. Autant d’arguments qu’un homme ne peut réfuter de peur de se faire meurtrir le restant de son séjour.
    
    Quelques minutes plus tard, car vous connaissez maintenant la lourdeur du pied de Marc sur le champignon, quelques minutes plus tard nous abordions la bretelle de dégagement pour entrer sur l’aire de repos en amont de Mâcon.
    
    Je m’étais vêtue avec efficacité – efficacité, mère de vivacité – et dans cette diligence j’assurais à la fois la volupté et l’espoir d’un profit vite et bien consommé.
    
    Fermeture à glissière du col au bas de la robe. Robe moulante noire(classification allumeuse), mais de facture classique. Bottines à talons aiguille de dix ...
    ... centimètres – encore dans la limite de l’acceptable pour Marc-An si peu que nous soyons en représentation professionnelle, je pense que la pilule passait mieux. Marc n’échappait pas au cliché fièrement arboré par les hommes de la jolie femme à son bras.
    
    Lorsque Marc fit son arrivée en vis-à-vis des deux gros bahuts, je pus remarquer les patronymes en bandeau sur les parebrise de Titi l’Asphalte et Maurice le Camionneur.
    
    Ah ! J’ai omis ceci bien sûr, dans un souci de praticité, je ne portais ni culotte ni soutien-gorge.
    
    Dès notre arrivée dans l’espace de repos, mes seins se durcirent, marquant largement le tissu élasthanne de ma robe, et mon sexe, entièrement épilé, fit en peu de temps comme une buée opaque sur un miroir.
    
    Je me saisis de mon petit sac à main. Marc lançait une communication professionnelle de la plus haute importance avec son double du cabinet-conseil.
    
    M’extrayant de la voiture, je sentis le petit filet, humide comme une petite patte de mouche, se glisser aux creux de mes seins et de mes jambes. Mon corps frissonnait du désir presque indescriptible de celle qui va vers l’inconnu.
    
    Souvent dans mes souvenirs, plus que les corps qui m’assaillent, souvent me revient le passage, la marche d’approche, pour user d’une image sportive de mes aventures. Et ce sentiment en mélange de désir et sans doute d’une sourde crainte, souvent et longtemps, je le garde comme le seul moment de réel plaisir, d’ultime intimité.
    
    Lorsque sur le carrelage le bruit sec de mes ...
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