Truckers 3
Datte: 13/06/2024,
Catégories:
fhh,
collection,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Masturbation
facial,
fgode,
fsodo,
confession,
roadmovie,
totalsexe,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... douche et de la littérature dont Grand Costaud s’accompagnait. Juste avant que je bifurque pour retrouver Marc-An, mon somnolent amour, il se tourna vers moi, me rendant le sourire avec un léger temps de retard.
— À tout de suite, lançai-je.
La foule allait et venait en tous sens et Grand Costaud n’avait vu et entendu que moi. Il se tordait le cou à me voir m’éloigner tandis qu’il se dirigeait vers les cabines de douche. Je confiai mes bouquins à Marc-An en lui quémandant un petit temps de plus. Les effets de la digestion jouèrent amicalement en ma faveur. J’entrai dans les toilettes « femmes ». Me délestant de mon slip, de mon soutien-gorge, j’introduisis un petit joujou de voyage dans mon vagin. Je roulai ma robe stricte au-dessus de mes seins, laissai ma chemise ouverte, fis tomber ma chevelure et maquillai outrageusement ma bouche de rouge sanguin.
Je sortais presque de l’espace femme, quand j’aperçus Marc-An se dirigeant droit vers moi. Petit pas de ballerine en arrière, tandis que mon chéri ouvrait la toilette contiguë à la cabine de douche que d’un petit coup sec de l’index je me fis ouvrir.
Grand Costaud était nu comme un ver, son sexe long en pointe droit comme une flèche d’arbalète.
D’emblée et sans un mot, j’enfournai cet engin dans ma bouche, alors même que ses mains comme deux pelles dictaient la cadence. Comme à chaque fois mon temps était compté. Je quittai sa bite en me tournant en appui cambré contre la paroi contiguë aux toilettes où ...
... j’espérais que Marc se trouvait encore. Je murmurai à Grand Costaud de me prendre par le cul, ma chatte étant déjà occupée.
De peur que mes cris ne fussent portés en écho par-delà le hall de la station, je me fis bâillonner par la serviette éponge de Grand Costaud.
Le balèze avait ôté et suspendu ma robe, j’étais presque nue. Ses mains pelotaient mes seins avec la fougue des mâles en rut. Sa bite pilonnait mon cul avec une rage tout animale. Je jouissais en mordant le tissu de la serviette. Grand Costaud murmurait à mon oreille, scandait ses phrases au rythme des coups de bite qui défonçaient mon cul.
— Je le savais, je savais, je l’ai vu ton œil de salope, mademoiselle Sainte Nitouche. Ah, je te foutrais tout mon jus dans le cul ! Ah, t’aimes ça, la queue de routier, ça t’excite, hein, petite pute !
Pour seule réponse, je lâchais quelques « hum ! hum ! » étouffés par mon bâillon les accompagnant de mouvements de tête.
Grand Costaud se déchaînait tant dans mon trou, que mon joujou quitta mon sexe pour s’éclater sur le carrelage de la douche. Ses mains rudes de bûcheron canadien me hissèrent contre la paroi et sa bite me cloua là comme on fixerait un tableau.
Dans mes spasmes asphyxiés par le bâillon, j’entendis le bruit de l’eau de la chasse derrière la paroi, puis un claquement sec de la porte. Marc s’en allait.
Grand Costaud, dans un geste dingue et rapide, me fit vriller sur moi-même, accrochant ses doigts en griffe dans mes cheveux et m’agenouillant de ...