1. Massages, et épilations si affinités


    Datte: 08/06/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, rasage, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... découvert par la blouse flottante, dont les mains remontaient des chevilles aux cuisses de sa blanche patiente, et puis redescendaient. À chaque aller-retour, les doigts se rapprochaient de l’aine et du pubis à la broussaille sombre. Charlotte haletait, car les pouces bientôt, elle en était consciente, frôleraient sur son sexe la douce peau des lèvres. Ses lèvres, chacune maintenant trop gonflée, que massait par à-coups un doigt tendre et précis. Ses lèvres qui s’ouvraient, rappelant la caresse. Ses lèvres dévoilant une entaille rosée. Ses lèvres turgescentes sans espoir d’égaler le bourgeon dépassant en excroissance ultime de la forte capuche inapte à contenir la poussée du désir.
    
    Car dix doigts, en effet, massaient toute la vulve et dix autres, d’en haut, les y avaient rejoints. Et c’étaient quatre mains qui du pubis aux aines jouaient sur ma Charlotte, pesaient sur ses ovaires et comprimaient ses lèvres, lui lissaient les petites et lui pressaient les grandes, lui écartaient la fente et la lui refermaient, expulsant sa cyprine en blanchâtres coulées. Son clitoris, bien sûr, n’était pas épargné. Deux index le serraient, un pouce l’écrasait, et son énormité retenait l’attention, non seulement de celles qui le manipulaient mais aussi des voisines en train d’être massées, voire encore des consœurs délaissant leur office. Et ce petit démon, tout boursouflé d’orgueil, en se poussant du col se rengorgeait par vice.
    
    Tout comme moi, Agnès, regardait, fascinée. Dans mon dos, ...
    ... j’entendais ma Sandra soupirer sous les palpations de ses propres masseuses. Vers quels attouchements me tourner… J’hésitais ! La plus jeune sans honte se livrait à l’orgasme, mon amie défendait un reste de pudeur. Elle luttait encore, mais elle était vaincue. Agnès l’avait compris et pour ne pas gêner de son regard sa mère, s’est jetée contre moi, enfouissant sa tête au creux de ma poitrine. Sa bouche était brûlante sur ma peau et sous ma main son sein rond frémissait quand je l’ai enlacée. Charlotte nous a vues si tendrement unies. Elle a réalisé que cette amitié de sa fille et la mienne n’était pas le seul lien qui incitait Agnès à distraire chez nous ses heures de loisir et qu’elle était assez proche de moi pour que nos nudités ne soient une découverte pour aucune. Ce fut la goutte d’eau dont son cœur déborda. – Enfin, je dis son cœur, vous devinez lequel. – Elle a fermé les yeux et s’est abandonnée. Ses doigts se sont crispés, son corps s’est détendu, et je l’ai vue jouir ! Je n’étais pas la seule.
    
    Personne n’a rien dit. Les matrones l’ont épongée, buste, dos, membres et chatte, sans faire une remarque, sans hausser un sourcil. Elles l’ont relevée, l’ont aidée à marcher. Elles l’ont recouverte de l’une de leur blouse, obligeamment prêtée. Les autres, à côté, s’employaient à donner à Sandra les mêmes attentions sans parler autrement que par de tendres gestes. Charlotte était confuse, sur sa couche encore chaude je me suis allongée comme m’y invitait l’ange brun dénudée. ...
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