1. Massages, et épilations si affinités


    Datte: 08/06/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, rasage, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... a dû se contraindre à une nouvelle entière exposition. La pauvre choute, elle en tremblait et elle en mouillait !
    
    Une parenthèse ici pour partager avec vous ce tableau : imaginez la grande salle et son bassin d’eau tiède au milieu. Autour de celui-ci, un espace dallé ponctué de fauteuils confortables et d’ottomanes profondes, propres à déguster un thé à la menthe, une pâtisserie au miel ou simplement à converser moelleusement entre copines. À gauche, les tentures et les portes communiquant avec le vestiaire et les offices. En face, le large accès à l’étuve, le sauna, et son ombre brûlante. À droite, une petite piscine froide, pour celles aimant s’y plonger toutes suantes – brrr ! – et là où nous nous tenions, les six tables dédiées aux soins corporels. Tout cela occupé, traversé, animé, par une foule de femmes et filles nues au corps brun, très jeunes ou très vieilles mêlées, et par la dizaine d’employées, de tous âges aussi, dévêtues dans leur blouse ocre ou vert pâle, affairées à servir et choyer leurs clientes, ou plutôt leurs patientes, qu’elles traitent en amies.
    
    Et, au centre des tables de soins, nous quatre, aussi nues que les autres, blanches de peau ressortant encore mieux parmi nos compagnes, deux couchées alanguies, deux plantées toutes droites, vers qui, discrètement ou moins, convergeaient les regards de l’assemblée entière. Même pour une nudiste exhibitionniste aguerrie, comme moi, mes amours, ou pour une insouciante coquine délurée, comme nos ...
    ... filleules, mes commères, la situation était sournoisement gênante et terriblement excitante. Alors, pensez dans quel tourbillon d’impressions confuses et mélangées pouvait être emportée une novice livrée pour ses débuts au voyeurisme sans réserve de ses semblables, comme Charlotte, ou une récente initiée apprivoisant ses sens à voir et être vue, comme Agnès. Les deux se regardant en outre pour la première fois dans leur nudité crue.
    
    Charlotte, étendue donc, à contre cœur se laissait observer. Ses émois palpitaient sur sa chatte. Ses joues avaient rosi et sa belle poitrine se tendait, malgré tous ses efforts pour conserver son calme. Ses yeux inquiets suivaient la lente progression des mains qui parcouraient son corps. Derrière elle, à genoux sur le haut tabouret, la plus jeune masseuse se penchait en avant en pétrissant son buste. Selon les mouvements, les bouts des seins pointus lui frôlaient les cheveux ou bien les cuisses fines lui ombrageaient la tête qu’elles emprisonnaient dans leur cage à parfums. Ses globes pleins et fermes, caressés, pressés, étirés, malaxés, de leur base au téton entre deux paumes vives, se gonflaient, et quand les doigts agiles en les abandonnant couraient le long des côtes jusqu’au bas du nombril, restaient durs et vibrants. Alors, alors enfin, Charlotte soupirait.
    
    Devant elle, debout entre ses pieds, le visage impassible mais les yeux pétillants, un autre ange officiait. Un ange au regard noir et aux ailes d’opale, bronzage naturel sur son corps ...
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