1. Massages, et épilations si affinités


    Datte: 08/06/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, piscine, sauna, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, rasage, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Sandra était si gaie qu’elle a, d’autorité, attiré son amie au lit qu’elle quittait. Agnès s’y est couchée, frémissante et troublée, alors que, je le sais, nul parfum de ma fille ne lui est inconnu. À moins que ce ne soit justement pour cela…
    
    Bon, inutile, mes chéries, de vous dire mes sentiments pendant que mon dos, mes fesses et mes cuisses étaient palpées, chaspées, pétries et caressées, par mes officiantes, n’est-ce pas ? Un délice ! Déjà, le massage en lui-même était un plaisir. Mais avoir encore en tête l’image de Charlotte énamourée et penser à la suite qui adviendrait pour moi… Eh bien, oui, je coulais ! Oh, je ne cherchais pas à tout prix à le cacher. D’ailleurs, l’aurais-je pu ? Mes cuisses écartées dévoilaient mon péché. J’avais près de mon nez les fragrances légères du corps de la jeunette qui massait mes épaules, je savais qu’à mes pieds son aînée était nue. J’ai eu peur de jouir pour ces seules raisons. J’ai détourné la tête, j’ai regardé Agnès et je l’ai vue perdue dans les mêmes pensées.
    
    Nos yeux se sont liés, nous nous sommes souri. Elle aussi se laissait malaxer sans réserve, la seule différence était dans ses masseuses. La plus grosse était nue – Sandra avait sa blouse – et s’occupait du dos. L’autre avait pris le bas, des chevilles aux fesses. Leurs mains se retrouvaient sur la chute de reins. Parfois elles ouvraient le joli cul offert, sans aucune vergogne, comme chose banale, et le regard d’Agnès sur le coup se voilait. Les gestes étaient les ...
    ... mêmes, concernant ma personne, me donnant des frissons à me savoir visible d’inconnues qui, la mine paisible, scrutaient tous les détails de mon cratère intime. Mon exhibitionnisme me commandait l’orgasme. Je craignais pour Agnès le même phénomène. Je lui ai pris la main, au mépris des usages. Ensemble, nous avons résisté à l’orage, mais, en nous retournant, les masseuses ont compris à quelle extrémité était notre courage.
    
    J’avais lâché Agnès, laissée seule à son sort. Je me suis concentrée pour retarder le terme du plaisir qui montait. Mais, que faire ? À portée de mes yeux, une minette imberbe se mouvait et dansait, et parfois s’entrouvrait. J’ai fermé les paupières pour n’être pas tentée d’aller coller ma bouche à la fente mutine. Mais je ne pouvais pas aussi fermer mon nez, ni ne sentir les gouttes qui une fois ou deux effleurèrent mes joues. Ma tête embaumée des effluves discrets de celle qui palpait subtilement mes seins, mes jambes écartées alternativement frôlées par la poitrine douce de l’ange dénudée qui massait à la fois mes cuisses et mon pubis, mon orchidée éclose délivrant son pistil, j’ai glissé hors de moi et me suis envolée dans une apothéose d’étoiles et de cyprine.
    
    Ai-je crié ? Peut-être, on ne me l’a pas dit. Mais Agnès a gémi, cela je m’en souviens. En tout cas, le sourire ravi des matrones disait bien leur fierté du bon tour qu’elles avaient joué. Je n’allais pas me plaindre, n’est-ce pas ? Au contraire ! Mon seul ennui venait du fait que ma coulée de ...
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