1. MERCI TATA...


    Datte: 08/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... jusqu’au fond du vagin. J’étais dans un tel état d’excitation que je ne pus me retenir longtemps, lui injectant mon plaisir au fond de ses entrailles. J’étais à présent devenu un homme, et heureux de l’être. Mais il m’était alors impossible de dévoiler à quiconque qui avait été ma partenaire au risque de lui faire enquérir des ennnuis.
    
    Pas le temps de réfléchir plus longtemps sur le sujet que déjà ma tante loin de se soucier de ce qui m’arrivait, m’attira sur la paille. C’est elle maintenant qui me chevauchait, s’acharnait sur ma queue, l’aspirait en contractant ses muscles vaginaux, tout en pressant avec violence son clitoris gorgé de sang. Quand elle sentait à la limite de l’explosion, elle suspendait son mouvement, puis reprenait de plus belle.
    
    Quand son excitation atteignit son comble, elle accéléra ses va-et-vient, pressa plus fort son bouton. Au bord d’une nouvelle jouissance, je me tenais figé. Une secousse, telle une décharge électrique, paralysa ma tante. Dans sa chatte ruisselante se déversaient des jets de sperme.
    
    Anéantie, elle s’écroula sur moi, serrant les cuisses pour maintenir en elle ma queue dure qui la taraudait.
    
    Couchés côte à côte, silencieux, nous reprenaient nos souffles. Ce fut moi qui brisais le silence.
    
    -Merci tata !
    
    -Oui, mais bouche cousue ! Me fit-elle.
    
    Je ramenais la tête de ma tante vers mon bas-ventre, plaçais ma queue contre sa bouche. Privilège de l’âge, ma queue eut tôt fait de reprendre vigueur dans la gorge de ma ...
    ... tante.
    
    Puis loin d’être rassasier, je la fis se mettre à quatre pattes sur la paille. Je me plaçais derrière elle, la faisais s’ouvrir. Elle se cambrait comme une bête en chaleur. Bientôt ma queue pénétra dans la chatte ruisselante. Posant mes paumes à plat sur les lourdes fesses d’un blanc laiteux, je les écartais pour faire apparaître la rondelle plissée du trou du cul. Après l’avoir humidifié mon index de salive, comme je l’avais fait à Maria, je lui titillais la rondelle. Ma tante s’agitait sous les effets de la caresse. Quand je la jugeai à point, j’enfonçais mon doigt d’un coup. Ma tante se raidit, resserra les fesses.
    
    Je restai un long moment immobile, le doigt serré dans le fourreau anal. Quand je sentis les muscles du cul se détendre, j’entamais un lent va-et-vient. Quand la décontraction des chairs intimes de ma tante fut complète, j’en profitai pour introduire un deuxième doigt, tout en continuant à limer la chatte à coup de queue.
    
    Quand elle sentit ma queue se retirer de son vagin pour venir buter contre son œillet, ma tante prit conscience de mes intentions. Elle secoua sa croupe tendue en arrière.
    
    -Pas par là… non !
    
    J’appuyais fermement sur le dos, l’obligeant à se cambrer au maximum et à présenter, bien dégagé le trou du cul dont j’avais bien l’intention de profiter. Surtout qu’elle ne pouvait pas crier à cause de la famille peuplant l’espace.
    
    J’appuyais sur les reins de ma tante, commençais ma lente poussée. Le gland forçait le passage, écartant ...