1. MERCI TATA...


    Datte: 08/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... personne ne c’était apercu de rien.
    
    Sitôt la porte franchis elle me fit asseoir au bord d’un botte de paille. Le regard fiévreux, les pommettes comme marquées au fer rouge, elle se plaça debout face à moi. Sans un mot, son regard rivé au mien, elle ouvrit sa robe portefeuille, puis la laissa tomber à ses pieds.
    
    Son ton de voix éraillé pouvait faire penser qu’elle avait bu, ce n’était pas le cas, elle était très excitée par la situation.
    
    -Qu’est-ce que tu en penses, mon cher neveux ?
    
    Je demeurai coït, elle poursuivit : -C’est tout ce que tu trouves à dire ?
    
    Je me trouvais dans l’incapacité d’articuler un mot. Figé, je ne pouvais détacher mon regard du corps qui se trouvait devant moi.
    
    Christiane se rapprocha. Elle se tenait tout contre moi. Son sexe s’entrouvrait à la hauteur de mes yeux. Elle posa un pied sur le rebord de la botte, présenta sous ses poils, sa fente lisse, béante, telle une plaie mal cicatrisée. Et elle me provoquait par des paroles obscènes : -Cela t’as manqué ? Dis-moi ! Deux jours sans bouffer ma chatte !
    
    Son attaque me sidérait, ma tante utilisait un langage digne d’une fille de mon quartier. Me tenant par les cheveux, elle me plaquait la bouche contre ses poils de chatte.
    
    -Qu’est-ce que tu attends ? Broute !
    
    Je me lançais dans la dégustation du fruit. J’empoignai ma tante aux fesses, que je pétris sans vergogne. Elle projeta son pubis en avant pour faciliter le travail de la langue qui explorait les replis de son sexe. Ma ...
    ... bouche aspirait les petites lèvres. Elle se caressait les seins, agaçait ses tétons durs comme du marbre.
    
    D’un geste brusque, elle me repoussait à la renverse, puis se laissa tomber à mes pieds. Fébrile, elle ouvrit mon short, plongea sa main à l’intérieur. Elle extrait ma queue tendue qu’elle prit en bouche telle une affamée. Elle pompait en lents va-et-vient.
    
    Je restai immobile, tout en posant ma main sur sa tête. J’accompagnais la fellation, accentuant de temps à autre la pression, faisant pénétrer au fond de la gorge accueillante ma queue de plus en plus raide. L’excitation qui montait en moi devenait difficile à contenir. Je ne voulais surtout pas me vider tout de suite dans la bouche avide.
    
    J’écartais la tête de ma tante, que je repoussais sur la paille, puis calmement, achevai de me déshabiller. Sa tension si intense au début était retombée. Prenant ma tante par les chevilles, je lui fis ouvrir en grand le compas de ses jambes, bien décidé de me dépuceler. Sous la touffe de poils, la vulve béante, luisante d’une mouille généreuse, palpitait.
    
    Je présentais ma queue à l’entrée du puits d’amour, j’y plongeai d’un coup de reins. Ma tante étouffa un cri, surprise par la violence de l’assaut. Je prenais le dessus sur ma tante. Je parvenais à me montrer encore plus obscène qu’elle : -Tu volais de la bite, en voilà. Prends-la bien au fond de ta moule !
    
    Christiane, insensible à l’insulte, haletante, projetait son bas-ventre à la rencontre de ma queue qui la perforait ...