1. MERCI TATA...


    Datte: 08/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Jour après jour je me découvris de plus en plus une véritable passion pour ma tante. C’était un besoin vital. Il fallait que je la vois, que je la respire. J’usais de ruse de chasseur. À l’affut du moindre mouvement de ses jambes alors qu’elle était assise. Imaginant l’empiècement humide de sa culotte que sa position avait incrusté dans la raie des fesses.
    
    D’ailleurs quand l’instant lui était donner, elle ne se gênait pas de m’exposer un peu plus d’elle. Et j’en étais ravi. J’apercevais la portion de cuisse nue et la dentelle du slip.
    
    Elle me laissait regarder. Se moquant parfois de moi quand je me penchais la tête pour lorgner sous sa jupe. Elle jouait avec moi comme avec une marionnette, sans s’en cacher. Et moi, pauvre imbécile, j’étais tellement démuni je ne savais quoi faire.
    
    Au bout du rouleau, je me réfugiais dans un endroit où personne pouvait me voir pour me masturbais en fantasmant sur elle. Mon excitation apaisé, j’avais honte de moi sur l’instant. Mais l’instant d’après mon désir était plus fort que tout.
    
    Deux jours s’était passé sans qu’elle m’invite à aller à la grange. D’ailleurs, elle avait meme fait mine de m’ignorer. Puis le sur-lendemain, alors que nous étions seul à la table du petit déjeuner, et que ma grand mere et mere faisait la vaisselle, Christiane attendit qu’elles nous tourne le dos ouvrit les cuisses comme pour faire pénétrer une bouffée d’air frais sous sa jupe. Une chaleur agréable alourdit mon ventre. Puis elle se pencha, ...
    ... montrant les prémices de sa lourde poitrine par l’échancrure béante. Mon regard semblait l’amuser. Je me sentis devenir écarlate.
    
    Elle ne me quittait alors plus des yeux. Ma pine s’enfla dans mon short. Je desserrais les cuisses pour la laisser s’étirer dans mon slip. Je suivaiss le manège des mains de ma tante. Imaginant que c’était mon sexe qu’elle avait entre ses doigts. Elle respirait en ouvrant la bouche. Les narines dilatées, comme si elle manquait d’air. Son front luisait.
    
    Elle se tortilla sur son siège. J’imaginais le frottement du bois sur la moiteur des fesses. L’arrivée inopinée de son fils rompit le charme. Christiane avait par pur réflexe, tiré sa jupe pour recouvrir ses genoux. Ce geste m’excitait. Ça signifiait qu’elle avait conscience de ce qu’il me trottait dans la tête. Je serrais mes cuisses pour dissimuler mon érection à mon cousin. Je devais dans le meme temps, maîtriser ma respiration essoufflé. Sous peine de me faire repéré. Mais cela ne m’empêcher pas de caresser le bout de mon gland avec le pouce. Mon ventre s’alourdissait en me rémomérisant les contorsions indécentes de la tante. Des images incrustaient à tout jamais dans mon esprit. Malgré la presence de son fils, Christiane me scruta, dubitative et esquissa un sourire. Puis elle eut un rire énervé qu’elle étouffa avec sa main.
    
    Puis elle se leva d’un coup, pris son bol, elle posa mon regard dans le mien et lâchait:-Dans trois quart d’heure où tu sais.
    
    Ça avait été dit si expeditivement que ...
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