1. Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (3)


    Datte: 14/07/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Olea & Mr.Ko, Source: Xstory

    ... faire autant de mal ? Idiote ! Tu es contente dans la vie, tu es belle ! Assume-toi ! »
    
    Malgré mes tentatives d’auto-persuasion, il m’était difficile d’appliquer ces simples préceptes. Jeune, le regard des gens avait un impact tellement important sur moi que je n’assumais pas mon corps et mes envies. Je n’étais pas dans les standards des beautés grandes et filiformes, et ce n’est que plus tard que j’apprendrai à vivre pour moi et non pour les autres.
    
    C’est en ayant fait peau neuve que je sortis de la douche, propre et fraîche pour affronter cette nouvelle journée d’hostilités. Vêtue d’une fine robe, je rejoignis Ozan qui m’attendait puis nous prîmes la direction de nos tentes.
    
    De retour à notre campement, on se rendit compte qu’Ellande ronflait sous la toile des deux frères. Je proposai à Ozan de lui passer du baume sur le dos ; il accepta ma proposition et enleva son haut.
    
    Je frottai délicatement la zone endolorie de son épaule puis lui tendis le pot pour qu’il fasse le reste lui-même. Une fois terminé, ce fut à mon tour. Le jeune homme me proposa de procéder de la même manière, d’abord les zones inaccessibles, puis je ferais le reste ensuite. Je lui expliquai que, mis à part une culotte, je ne portais rien en dessous et que je ne voulais pas faire ça à la vue de tout le monde ! Je me débrouillerais donc seule et à l’abri des regards sous mon tendelet. J’entendis soudain une voix féminine derrière moi :
    
    — Je peux t’aider si tu veux ! dit la demoiselle.
    
    Je ...
    ... restai dans l’expectative face à ce nouvel évènement. S’apercevant de mon désarroi, elle ajouta :
    
    — J’ai entendu ce que tu as dit en passant ; si tu veux, je peux t’aider à te mettre la crème, c’est comme tu veux ! me dit-elle, le sourire aux lèvres.
    
    J’analysai immédiatement les risques, et n’y voyant aucun problème particulier, je l’invitai à entrer dans mon repaire avant d’en fermer l’accès. La brunette était aussi charmante qu’avenante, et une fois toutes deux face à face elle me demanda où elle devait appliquer le baume. Je me retournai et commençai à remonter ma robe le long de ma dorsale. Une fois que le tissu a passé la tête, je le déposai au sol devant moi. Je posai mes fesses par terre entre mes pieds et gardai mon équilibre en ouvrant assez largement mes genoux, le flanc des cuisses couché sur le matelas de camping. J’ouvris ma cage thoracique afin de lui offrir le maximum de mon verso, alors que par pudeur je cachai d’un bras ma légère poitrine.
    
    J’entendis mon infirmière de fortune ouvrir le pot d’onguent, puis le déposer au sol. La jeune femme frottait ses mains, probablement pour chauffer la pâte avant de l’appliquer sur ma peau. Je m’attendais à un contact imminent quand le bruit de friction s’est arrêté, mais je ne perçus aucun mouvement. Le silence devenait gênant, et les quelques secondes qui venaient de s’écouler me semblèrent être une éternité. Je me risquai à tourner mon visage vers la fille quand elle déposa une main ferme mais tout en douceur sur ...
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