1. Où Marie se libère


    Datte: 05/06/2024, Catégories: ff, fff, jeunes, inconnu, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... naturistes ont cela de bien que la discrétion y prévaut. Personne ne s’est senti obligé d’émettre une remarque.
    
    Les nombreux verres de jus de fruits ont été les bienvenus, les salades composées ont été vite avalées, les sorbets du dessert ont suivi au même rythme, la grande bouteille d’eau a été renouvelée, et nous sommes revenues vers notre coin de prédilection dont l’isolement a été respecté. Bien sûr, il a fallu secouer quelque peu ma robe pour la débarrasser du sable dont la brise l’avait gratifiée avant de s’y étendre pour une sieste digestive. Durant tout ce temps ni Marie ni moi n’avons évoqué nos impressions respectives sur ce pipi commun en public.
    
    Je mentirais en disant qu’une robe blouse déployée offre un espace suffisant pour deux : à la vérité nous y sommes très serrées. La seule façon de tenir est de nous allonger sur le côté. Encore faut-il que nous nous rapprochions étroitement pour que nos fesses ne débordent pas du tissu. Le plus simple est de nous enlacer, seins contre seins et ventre contre ventre. Nos bras joints nous servent d’oreiller, nos visages se font face, nos souffles se croisent et nos jambes s’entremêlent. Comment éviter alors que la cuisse de l’une presse la chatte de l’autre, et inversement ?
    
    La question ne s’est même pas posée. Nos genoux ont trouvé leur place tout naturellement, nos pieds se sont imbriqués aussi facilement et leurs caresses nous ont fait soupirer d’aise. Maintenant, les battements de nos cœurs se répondent, les ...
    ... frémissements de nos corps s’accordent, nos transpirations se mélangent et nos bouches s’attirent inexorablement. Nos lèvres se trouvent et s’entrouvrent, nos langues se cherchent, se rencontrent, s’enroulent et se lutinent. Nos salives s’échangent et s’avalent, nos baisers nous soudent et nous enivrent.
    
    Nous reprenons notre respiration, nos sourires en miroir et nos yeux en supplique. Nos mains libres s’étreignent. Nos doigts se prennent et se quittent, s’égarent sur nos reins, se perdent sur nos hanches. Nos poitrines s’épousent et nos tétons s’érigent. Nos mamelons s’affrontent et nos bustes frissonnent. Nos ventres s’emballent et nos fourches s’embrasent. Nos chattes s’émeuvent et pleurent sur nos cuisses. Nos bouches se retrouvent, et c’est délicieux.
    
    Délicieux… et brûlant ! La cyprine et le sel ne font pas bon ménage. Nos fentes s’écrasent sur une peau gorgée d’une eau de mer séchée dont les fins cristaux se diluent sous la mouille et s’insinuent dans tous les replis des muqueuses. Mais le mal est son propre remède, la vulve nous démange et coule de plus belle. L’excitation s’augmente de ses formications. Nos lèvres vaginales gonflent et nos clitos durcissent. Nos sexes s’ouvrent et bavent, et se frottent à nos cuisses. Le prurit s’atténue et le plaisir redouble.
    
    Marie halète dans ma bouche, son bassin roule contre moi, son corps ondule entre mes bras. Je l’étreins plus fort, je la serre, je la presse, ses mains se crispent, ses jambes se tétanisent, elle s’arque, ...
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