Esclave de Mère - Ch. 02
Datte: 03/06/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... qu'augmenter, je suis au bord de la panique. Elle replie mes jambes dessus, dégageant mon anus, et y enfonçant une canule très longue, qu'elle fait pénétrer de près d'un mètre! J'ignorais que cela soit possible! J'aurais pu bien m'amuser ainsi. Elle continue d'enfoncer la canule, en injectant de l'eau d'un gros boc qu'elle a rempli au préalable. Je sens l'eau profondément en moi, c'est un peu gênant mais rien de plus. L'eau ressort évidemment sale, mais vite évacuée et de l'eau propre la remplace. Le circuit tourne pendant une demi-heure, elle me masse pour que l'eau circule bien partout, j'ai quelques crampes mais je ne dis rien bien entendu. Lorsque l'ensemble du circuit d'eau est complètement propre, elle arrête l'injection, aspire l'eau restant en moi pour me sécher, puis injecte un liquide rouge en petite quantité.
- C'est un petit ajout de ma perversité, juste un piment particulièrement agressif pour l'intestin, j'adore tellement le voir souffrir, sans rien pouvoir faire.
Je sens déjà mes intestins brûler tandis qu'elle retire la canule, presque deux mètres je compte! Comme prévu, je me tiens le ventre, cela me consume, je hurle dans mon bâillon, je ferai toujours tout ce qu'elles veulent, alors pourquoi autant de cruauté? Parce qu'elles aiment cela...
Les deux femmes me regardent souffrir avec plaisir, et Mère propose une ...
... séance de cravache, après s'être assurée que les coups sur les seins ou le ventre ne craignaient rien. Je suis sur le lit, les bras et jambes écartelées, chacune a une canne à la main, et je suis fouettée à tour de rôle, parfois en même temps. Mon cri est continu, je ne fais rien pour me protéger, mais je n'arrive pas à autant m'offrir que ce matin, tant la souffrance du ventre et des seins sont difficiles. Heureusement que le corset me protège un peu. Du coup mes jambes et mes bras sont marqués de toutes parts, je ne suis que souffrance.
Avant de me laisser vaquer à mes corvées, Mère prend soin d'entamer ma période infinie de dilatation en me remplissant du plus gros gode que j'avais déjà pris, celui de 8 centimètres, que j'avais supporté trois heures. Elle me murmure, que ce sera sans doute 8 jours cette fois-ci, et qu'il ne sera remplacé que par un gode plus gros et long. Il est solidement attaché au corset, je peux à peine marcher, je souffre tant, j'en tremble, mais il faut que je range tout, nettoie tout et sois à leur ordre.
- Ta nouvelle vie vient de commencer ma petite femelle. Et elle me promet tant de plaisir. Je suis certaine que tu commences à regretter d'être restée. Tu n'aurais pu tomber sur pire que nous deux.
Cela j'en suis certaine, mais Mère sous-estime la dévotion que j'ai pour Elle et celle pour Sandrine également.