1. Esclave de Mère - Ch. 02


    Datte: 03/06/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    Si on n'a pas le choix, est-ce que cela veut quand même dire qu'on a donné son consentement? Mère dit que oui et je la crois. Je me suis décidé à La servir et être sa femelle esclave comme Elle dit. J'ai de la chance, c'est une très belle femme, et sans doute beaucoup m'envieront. Mais ce qu'Elle a pu me dire me trotte dans la tête, tandis que je suis à genoux au milieu du salon, droit sur mes cuisses écartées, les mains sur la nuque et les coudes écartés. C'est une position très douloureuse à tenir et au bout d'une demi-heure, je suis tétanisé, je ne pense même plus à mon sexe si torturé.
    
    Ainsi ma Mère a toujours été lesbienne, je suis le fruit d'un viol et Ses parents n'ont pas voulu qu'elle me tue. Elle me voue une haine viscérale, reportant sur moi toute la haine des hommes. Je La comprends, je suis tellement désolé pour Elle. En plus, cela ne Lui a pas permis de vivre Sa sexualité avec Sandrine pendant toutes ces années et Elles vont maintenant pouvoir le faire, et surtout mettre en exécution tout ce qu'Elles ont prévu pour moi. C'est vrai que j'étais toujours excité par les photos de Mère que je voyais dans Son album caché, comme je l'ai fantasmée, Eh oui, Elle a raison, ce sont les photos où Elle est la plus menaçante qui m'excitent le plus. Oh cela me fait bander d'y penser, la douleur est immédiate. Mélange de plaisir et de souffrance. Mère m'a promis de faire de ma vie un enfer de souffrances permanentes, que je regretterai d'être resté, puis même d'exister. ...
    ... Je sais que Mère tient toujours Ses promesses, surtout quand elles sont menaçantes.
    
    J'ai jeté toutes mes affaires à la benne en rentrant des courses, absolument tout, vêtements, objets, livres, il n'y a plus rien de moi dans la maison. C'est curieux, j'ai aimé faire cela, comme une nouvelle vie qui commence. Je n'ai plus que mes trois pauvres tenues de petite fille qui restent. Mais Mère m'a dit que Sandrine avait des idées pour cela aussi, je me laisse porter, j'accepte, je m'abandonne. Je n'ai jamais lutté il est vrai et j'ai été bien préparée. Oui, Mère ne veut plus que je pense à moi qu'au féminin. Pas le féminin d'une Femme, mais d'une femelle. Je ne sais pas trop la différence, mais Elle m'a indiqué que j'étais comme un animal domestique. Mais un tel animal a droit à de la tendresse et de l'affection, que je ne devais pas y compter!
    
    Mère va ouvrir la porte et les deux femmes s'embrassent passionnément devant moi. Sandrine est très jolie également, peut-être la quarantaine, un peu plus âgée que Mère. Elle pousse deux énormes valises et vient se poster devant moi.
    
    - Enfin, nous allons pouvoir nous lâcher!
    
    - Je n'en pouvais plus d'attendre, c'est trop bon. Elle est si mignonne en petite fille, tu verras.
    
    - J'ai vu sur la photo que tu m'as envoyée, mais nous allons en faire une petite pute qui aura beaucoup de succès et une belle carrière de pute masochiste.
    
    - Profitons-en.
    
    Sandrine s'approche de moi, l'air menaçant, je baisse la tête en tirant sur mes ...
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