1. Esclave de Mère - Ch. 02


    Datte: 03/06/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... m'excite et du coup, fait souffrir mon sexe contraint. Je pose ma bouche, et très vite Sandrine se lâche en moi, sans retenir le flot. J'avale tout, et le goût acre me plaît, je ne peux parler pour la remercier, mais je baise ses pieds avec dévotion, elle le sent.
    
    - Tu vas être une bonne chienne, j'en suis certaine. En attendant ce jour, j'en ai brisé des garçons comme toi, si tu savais. Quand je les ai laissés, ce n'était plus que des déchets, et pourtant ils pleuraient, ils pleuraient. Il faut dire qu'ils n'avaient plus de couille, ni de sexe, aussi ils n'étaient plus rien. Je me suis bien entraînée pour toutes les opérations que je veux te faire, doser l'anesthésie que tu souffres bien comme il faut, mais pas trop, sinon impossible d'opérer.
    
    - Mais ne fais pas cette tête, tu verras, tu me supplieras d'enlever tes couilles et ton sexe, pour arrêter de souffrir. Je ne le ferai que quand tu me supplieras, tu vois c'est toi qui décides!
    
    Elle rit de son propre plaisir, se caressant en me disant tout cela. C'est très cruel, mais aussi très excitant, qu'elle déploie une telle énergie pour moi. Je lui baise les pieds avec toute la dévotion que je peux avoir pour la femme de ma Mère.
    
    - Bien, commençons donc la journée par les dix coups de pieds.
    
    Je me mets en position, tremblant, mais offert. Je ne pourrai jamais m'habituer et je conçois bien qu'un jour je sois soulagé de ne plus souffrir par là. Le premier coup me surprend, il est moins appuyé qu'hier, et j'arrive à ...
    ... ne pas m'écrouler, même si les étoiles brillent dans mes yeux. Les neuf autres suivent, le dernier très violent, je m'évanouis sur le coup! La douleur est immense dans le ventre. Je suis réveillé par les coups de cravache de Sandrine, furieuse que je me sois échappée ainsi de la souffrance. Elle me cravache sur tout le corps, m'interdisant de me protéger, alors je m'offre. C'est quelque chose dans la tête, qui cède, qui dit que c'est inutile de faire quoi que ce soit, sinon obéir. Je me laisse fouetter sans plus réagir, les coups sont de plus en plus forts, Sandrine veut me briser, sans se rendre compte que je le suis déjà, je flotte, j'appelle les coups, je suis sur le dos, les cuisses écartées, elle me bat partout, sur les bras, le cou, même.
    
    Quand elle arrête, j'aurais voulu que cela dure éternellement. Mon corps me brûle, je suis brisée comme elle le souhaite, ce n'est qu'un début. Mère est arrivée pendant la fouettée, excitée de me voir battue si fort. Elle me fait remettre à genoux, je n'avais pas compris que chacune me donnerait ces dix coups dans les couilles. Mère ne modère pas ses coups, c'est affreux cette fois-ci, je pleure, je n'ose supplier, j'ai la tête qui tourne et le ventre horriblement douloureux. Elle rit de ma tête, cela semble renforcer sa violence, elle m'injurie, et enfin, après le dixième coup, m'ordonne de venir la boire. J'ai le ventre dans un drôle d'état mais je me précipite, et l'avale avec une dévotion encore plus grande. Je baise ses pieds, ...
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