1. Esclave de Mère - Ch. 02


    Datte: 03/06/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... cuisses et mes coudes pour que la position soit bonne. Ce n'est pas ce qui l'intéresse, elle me décoche un coup de pied d'une violence folle, sur mon entrejambe, et mon sexe enfermé dans son sac clouté si douloureux, je me retrouve agoniser sur le sol, un voile noir sur les yeux. Je comprends que je dois me repositionner et sans avoir récupéré, je me remets en place, pour recevoir aussitôt un second coup tout aussi violent. J'ai le souffle coupé, aucune pensée dans la tête, seule l'impérieuse nécessité de me replacer aussi vite que possible.
    
    Au cinquième coup, je suis évanoui. J'entends une voix au loin :
    
    - Je prescris matin et soir 10 coups dans les couilles, cela le met bien à sa place, il va apprendre à mieux les recevoir (La vois de Sandrine est terrifiante)
    
    - Il va débarrasser tes valises
    
    - La jaune c'est pour mes affaires, à ranger comme il faut esclave. La rouge je vais m'en occuper, ranger dans la chambre d'ami. Ce sont plein de choses que j'ai préparées pour lui! Et pour commencer, tu vas voir, cela va être amusant.
    
    Sandrine me refait positionner à genoux, détache mon paquet, je suis un peu soulagée de la pression. Mère lui passe la clé de ma poche cloutée, elle enlève le cadenas et je pense à cet instant, que les 15 jours d'enfermement n'auront pas lieu. Douce erreur. Si elle entrouvre la poche, c'est pour la remplir d'une crème bleu vert, dont elle vide la moitié du tube, avant de remonter la fermeture éclair et le cadenasser.
    
    C'est frais et ...
    ... cela me soulage. Quelques secondes. Puis la fraîcheur devient brûlure intense, je hurle, tandis que Sandrine masse pour que la crème se répartisse bien partout. Je crie, je pleure, je supplie, mon sexe et mes couilles sont en feu, je suis écorché vif. Les deux femmes me regardent gigoter par terre comme un fou, en riant de mes souffrances, s'embrassant et se caressant. Si j'avais été conscient j'aurais vu les deux femmes se faire jouir de mes souffrances qui ne se calment pas du tout.
    
    - Tu lui as mis quoi (Les deux femmes boivent une coupe de champagne, me regardant hurler en continu, la voix cassée, depuis près d'une heure)
    
    - Une crème mentholée et alcoolisée, je pense qu'il en a pour un moment encore, c'est amusant, n'est-ce pas?
    
    - J'adore, je t'adore.
    
    Mère et Sandrine vont dans leur chambre, je gis à terre, complètement brisé par la souffrance qui ne se calme pas, bien au contraire. Il me faut plusieurs heures pour récupérer, le temps de ranger toute la maison, préparer le petit-déjeuner de demain, et je vais m'étendre à même la moquette aux pieds de Mère. Je m'endors rempli d'image d'Elle et de Sandrine s'embrassant, se caressant, se faisant jouir, Elles ont raison, je suis à ma place.
    
    ***
    
    Je suis à genoux dans la cuisine quand Sandrine, nue, est la première à émerger. Elle s'assoit au bord d'une chaise, cuisse écartée, et me fait signe de venir. Je me souviens de la promesse de Mère, de ne jamais plus boire que leur champagne, c'est un vrai honneur, cela ...
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