Le Co-Voiturage Ch. 02
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... essoufflement, je sus qu'elle approchait de l'orgasme, et c'est d'une voix rauque qu'elle ajouta.
« Rentre ta langue »
Dépassé par les événements et commençant à éprouver des difficultés à respirer, je pointais la langue sur son anus. Le sphincter résista pendant quelques instants, puis s'ouvrit brusquement, me laissant pénétrer à l'intérieur. J'eus un frisson dans le dos en goûtant l'amertume plus forte dans ce canal onctueux. J'avais de plus en plus de mal à respirer et me sentais nauséeux, mais continuais néanmoins à faire aller et venir ma langue dans cet étroit conduit. Il s'ouvrait davantage au fur et à mesure et, ma salive aidant, je pénétrais toujours plus loin.
Elle jouit avec un grand cri, se raidissant brutalement et me chassant de ma pénétration profonde. J'étais au bord de l'asphyxie et dégoûté par le goût amer que j'avais dans la bouche.
Revenu à elle, elle descendit du lit et sortit.
J'entendis bientôt le bruit de la douche.
J'avais toujours ce goût horrible dans la bouche et me sentais nauséeux. C'était révoltant et pourtant, je sentais, à la douleur vive dans ma cage, que je n'avais pas cessé de bander durant toute cette séance.
Quand elle fut propre et habillée, elle vint remettre ma cage et me détacher.
Je me levais en titubant et descendis préparer le petit-déjeuner et en profitais pour me rincer la bouche.
Nous déjeunâmes ensemble et je retrouvais une agréable convive.
Une étrange complicité s'était instaurée entre nous. ...
... Je connaissais tout de son corps, elle savait tout de moi.
Elle passa encore la matinée sur son ordinateur et, après avoir fait mon petit ménage, je passais le mien, sous la table, à lui lécher les pieds.
Un moment, elle se laissa faire. Je les rendis ses bottines propres et luisantes de salive, puis, basculant sur le talon, elle me présenta la semelle.
C'était révoltant, je ne savais pas dans quoi elle avait marché, pourtant, je passais la langue sur le cuir rêche. Cela avait un goût de poussière et de terre. Je léchais silencieusement sa semelle et son talon, tâchant d'y enlever un maximum d'immondices, avec un frisson dans le dos.
Évidemment, quand j'eus fini avec une semelle, elle me présenta l'autre et je recommençais mon manège.
« Tu as déjà été avec un garçon? »
Ça remarque tombait comme un cheveu sur la soupe et je la regardais horrifié.
« Non, je n'ai rien contre les homosexuels, mais je ne suis pas du tout attiré par les hommes »
Elle accueillit ma remarque avec un sourire énigmatique.
J'étais à quatre pattes entre ces jambes et ne pouvais m'empêcher de regarder ses cuisses, apercevant par moments la lisière de ses bas
Elle se leva brutalement et partit dans sa chambre. Je sortis de sous la table un peu halluciné.
Nous passâmes un après-midi tranquille, à lire ou à regarder la télé.
Vers 19 h, Madame Leroy me fit prendre un cachet. Je lui demandais ce que c'était ,mais elle se montra évasive.
Très vite, les choses m'apparurent ...