Le Co-Voiturage Ch. 02
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... pleine de pâtée et un bol d'eau. Je compris que c'était pour moi et regardait la pâtée avec un mélange de dégoût et d'appétit. Tandis qu'elle mangeait tranquillement à table, je m'approchais de l'écuelle. Ça sentait assez fort mais ça ne me ralentit pas et je commençais à laper. Ce n'était pas si mauvais que ça. C'était froid, bien sûr, mais plus mangeable que l'odeur ne le laissait paraître. Plus je mangeais, plus je me rendais compte que j'avais faim. Le plus compliqué était d'aller au fond de l'écuelle. Je n'avais pas la même langue qu'un chien et dû laisser pas mal de pâtée au fond. Pareil pour l'eau où je passais pas mal de temps à laper le bol.
Plus que tout, c'était l'humiliation qui me transperçait. J'étais là, à laper de la nourriture pour chien pendant qu'elle mangeait tranquillement à table.
Finalement, je fus rassasié. J'avais mal au cœur, mais je pense que c'est plus à l'idée d'avoir mangé de la nourriture pour chien que le goût que j'avais dans la bouche. Je tentais de bouger mais la laisse attachée me ramena à la réalité.
Elle se leva, me détacha et passa au salon en me tirant par ma laisse. Conformément à ses ordres, je la suivais à quatre pattes sans rien dire.
J'étais toujours en pleine érection et, en me penchant, je voyais mon sexe balancer obscènement sous mon ventre.
À nouveau, le spectacle de son fessier me captivait. Elle devait le savoir parce qu'elle marchait en se déhanchant plus que normalement. Elle se servit un apéritif, s'assit ...
... dans la banquette et écarta les cuisses et me tirant entre elles.
« Viens sentir ta Maîtresse »
Je passai la tête sous sa jupe et respirai sa culotte. L'odeur de son sexe me monta aux narines. Je ne pus m'empêcher de sortir la langue et de lécher la dentelle. Elle me tira à nouveau et tendit la jambe
« Tu sais ce que font les chiens en rut, ils se frottent sur la jambe de leur Maîtresse »
J'agrippais sa jambe et frottais mon sexe contre son bas. C'était rêche, humiliant, mais j'avais trop envie de jouir. Elle ne bougeait pas me laissant le soin de me masturber contre elle tout en sirotant son verre.
Je me frottais de plus en plus vite, j'avais mal au rein, mais je sentais le plaisir monter. J'avais conscience d'être ridicule mais c'était presque secondaire.
Cela dura un moment. Le plaisir montait, puis repartait comme une ombre. Mon sexe était irrité par le frottement contre le bas et je continuais avec espoir. De temps en temps, elle changeait de jambe et je reprenais ma masturbation sur la nouvelle jambe qu'elle me tendait.
J'allais jouir quand elle se leva pour se servir un autre apéritif, et je repris ma masturbation sur la jambe qu'elle me tendait.
Et puis, je sus que j'allais atteindre le point de non-retour, ça me prenait tout le corps. J'étais fatigué et avais de plus en plus mal dans le membre, mais rien n'y fit et je me sentis exploser en éjaculant enfin sur sa jambe.
La convulsion semblait ne pas s'arrêter et mon sperme jaillissait, giclée ...