Parfums de romantisme - Histoires de Sexe

Parfums de romantisme

... Malheureusement, il glissait contre l’entrée de son vagin tantôt vers le haut tantôt vers le bas. Après plusieurs essais infructueux, elle parvint à maintenir ma verge à l’endroit adéquat.

— Cette fois, c’est bon, vas-y, baise-moi !

Je pressai un peu plus fort mon gland et sentis ses chairs s’écarter sur mon passage mais instantanément elle me stoppa.

— Attends, ça me fait mal, j’ai l’impression que ça me déchire.
— Oh, je suis désolé, c’est de ma faute, lui répondis-je en me retirant prestement.
— Non, c’est moi qui suis désolée. Je te l’ai demandé et ça ne va pas, tu dois être déçu.
— Ne t’inquiète pas pour ça, l’essentiel c’est de ne pas te faire mal. On essaiera une autre fois, nous avons tout notre temps.
— Merci, tu es adorable. Je t’aime ! me dit-elle en m’embrassant. Mais par contre, je ne peux pas te laisser dans cet état.

Et elle reprit mon sexe dans sa main.

— C’est gentil mais tu m’as déjà fait jouir une fois.
— Eh alors ? Je vois que tu en as encore envie. Tu m’apprends à te masturber ?
— Eh bien, si tu veux, je ne peux pas résister à une créature de rêve nue contre moi.
— Montre-moi comment tu fais toi pour te donner du plaisir, me dit-elle en se plaçant à genoux à côté de moi.
— Eh bien voilà, je prends mon sexe au niveau de la hampe, bien serré dans ma main, comme ça, et je fais des va-et-vient.
— Ça a l’air simple… à moi !

Elle saisit ma verge fermement de sa main et commença un mouvement un peu désordonné.

— C’est difficile ...

... d’aller droit dans cette position…
— Oui, c’est sûr, tu peux peut-être te mettre à califourchon sur mes cuisses si tu veux, ça sera plus pratique pour toi.
— Ah oui, bonne idée.

Et, enjambant mes cuisses puis s’asseyant dessus, elle vint se placer face à moi. Elle saisit de nouveau mon sexe et recommença. Ses mouvements étaient lents et d’une telle amplitude qu’elle découvrait et recouvrait mon gland de son prépuce à chaque va-et-vient. Malgré tout, la sensation de sa main qui me masturbait et la vision de son corps nu face à moi étaient très excitantes.

— Ça va comme ça ? Ça suffit à te donner du plaisir ? Il n’y a rien d’autre à faire ?
— Oh oui, c’est bon ! Tu peux réduire un peu l’amplitude. Après, c’est surtout la vitesse qui est jouissive. Tu peux aussi masser mes bourses si tu veux.

Elle augmenta alors la vitesse de son poignet au détriment de sa régularité, faisant aller ma verge dans tous les sens.

— Oups, je vois la difficulté, c’est compliqué d’aller vite et droit. Je ne te fais pas mal ? Tu me dis si je dois changer quelque chose. Et pour tes bourses, c’est comme ça ?

Elle commença à masser mes testicules de l’autre main.

— Oh oui, c’est bon comme ça… continue !

Elle malaxait mes bourses tout en continuant les mouvements de son poignet le long de ma hampe. Ses doigts pressaient mes testicules comme pour mieux extraire le sperme qu’ils contenaient. Ses seins ballottaient au gré du branlage de ma queue quand elle s’interrompit :

— C’est ...