Au fond de l'impasse - Histoires de Sexe

Au fond de l'impasse

... effrayé la veille.

Il n’y avait pas de temps à perdre. Voulant impressionner ma petite amie, je chargeai cette femme évanouie sur mon épaule, au risque d’un tour de rein et allait l’asseoir sur ma chaise, avant de la ficeler serrée. Ensuite, avec de grands ciseaux de couture fournis par la propriétaire, je lacérai ses vêtements, sa petite robe près du corps fendue en plusieurs morceaux, son soutien-gorge déchiqueté et pour finir, sa culotte partagée en deux. Puis je soufflais un peu, rejoignis Ingrid qui avait laissé tomber son bâton et pour la remercier, je l’embrassai à pleine bouche, ce dont je ne me lassai pas, et elle non plus, tant et si bien que le baiser durait encore quand la voisine nue se réveilla.

— Ah je comprends mieux, dit-elle aussitôt, nous obligeant à nous interrompre. Un métèque et un boudin, quel couple magnifique vous faites !

Je ne répondis pas, j’étais depuis longtemps immunisé contre les remarques racistes, mais je remarquai qu’Ingrid avait été touchée, car elle était rouge comme une pivoine. Mais l’Agathe était idiote, car elle n’était plus en position de force. Je la regardais et je ne pus faire autrement que d’apprécier la femme que j’avais sous les yeux. Ses seins étaient splendides, de belles poires bien fermes, de grandes aréoles brunes et des tétons que le combat sans doute avait dressés de belle manière. Sa taille était fine et son ventre plat, son pubis entièrement épilé et sa petite figue brune, offerte par la position dans laquelle ...

... je l’avais installée, était tout à fait attirante.

— Elle est magnifique ta copine, dis-je à Ingrid toujours à mes côtés.
— Tu as raison de la trouver plus belle que moi, c’est sûr que ce n’est pas un boudin. Je suppose que tu ne vas plus vouloir te venger.
— Tu es bête, ma chérie. Il faudra que je m’achète un carnet pour noter toutes les bêtises que tu dis afin de prévoir au mieux les punitions que tu mérites. Cette conasse n’est pas belle du tout, ce n’est que l’emballage qui est chouette. À l’intérieur, il n’y a rien qui vaille le détour.
— Bon, arrêtez vos conneries, dit la prisonnière exaspérée. Détachez-moi et allez-vous-en.
— C’est ce qu’on va faire, mais il y a quelques petites choses au programme auparavant, chère madame. En premier lieu, il faut que nous soyons à égalité, vous et moi. Vous avez eu le coup de gourdin, le déshabillage, mais il vous manque la suite du programme.

Et sans attendre de réponse, je m’approchai d’elle et la giflai à deux reprises, dans un sens puis dans l’autre avec beaucoup de satisfaction. Puis, tandis que j’admirai la rougeur de ses joues malgré le fond de teint, je lui pinçais fortement les tétons, les tordis un peu jusqu’à ce qu’un « Aie ! » m’indique que je n’avais pas été trop gentil.

— Voilà, vous allez pouvoir rentrer chez vous maintenant, dis-je en défaisant mes nœuds, beaucoup simples que ceux de la concurrence.

Tandis qu’elle se redressait aussitôt, comme mue par un ressort et qu’elle déambulait dans la pièce à la ...