Au fond de l'impasse - Histoires de Sexe

Au fond de l'impasse

... me sortais d’elle avec son vagin qui fit encore un délicieux bruit dégoûtant, elle se retourna sur le ventre. Je la manipulais pour la mettre en position idéale, j’adorais avoir les mains sur elle, enfoncer mes doigts dans sa chair moelleuse et abondante et je la pris à nouveau. Bon Dieu ! Elle était encore meilleure de ce côté. Je passai ma main dans ses cheveux, je tripotai ses nichons, je claquai un peu son beau derrière et mes yeux tombèrent sur sa raie ouverte et son anus rose foncé, délicat et plissé. Je le caressai de l’index, il était chaud et élastique. J’y enfonçai mon majeur et c’était comme si j’avais deux bites en elle. Ingrid gémissait de plus en plus fort et criait des « Oui ! Oui ! Encore ! » comme si elle avait peur que je m’arrête, ce qui ne me venait pas à l’esprit.

Par contre, sa manière de couiner, de se cambrer, de réclamer que je la baise m’échauffait de plus en plus et je perdais peu à peu la maîtrise de mon corps et de mes réactions. Je criai à mon tour des obscénités, je cognais ses fesses avec mon ventre à un rythme d’enfer,flap flap flap, j’avais cessé de respirer depuis longtemps et je devais être rouge comme une écrevisse. Alors quand elle hurla « Viens, espèce de salaud ! », j’éjaculai aussitôt en elle, puis sur son beau cul blanc, puis un peu partout dans son lit, tandis qu’elle s’écrasait dans les oreillers comme un gros loukoum trop mûr.

Nous reprîmes notre respiration et nos esprits côte à côte, sans rien dire. Simplement nous nous ...

... regardions et chacun pouvait lire dans le regard de l’autre que pour une première fois, c’était très réussi.

— Tu es merveilleuse, lui murmurai-je
— Non, je ne suis absolument pas merveilleuse, murmura -t-elle à son tour, si doucement que je l’entendais à peine. Je suis une garce et je voudrais que tu me punisses.
— Que je quoi ?
— Punis-moi, s’il te plaît, il n’y a que toi à qui je peux demander cela. J’ai besoin d’être punie.
— Mais … Pourquoi ? C’est idiot, tu …
— Il y a plein de raisons. Moi, je sais que je dois être punie et si tu ne le fais pas, personne ne le fera. Tu dois me punir parce que je suis une grosse vache, tu dois me punir parce que je suis copine avec ces garces qui t’ont attaché, tu dois me punir parce que je ne suis pas assez intelligente, tu dois me punir pour me rendre gentille. Je t’assure, si tu me punis bien, je serai tellement gentille avec toi. S’il te plaît.
— Je … mais comment ? On ne se connaît pas assez.
— C’est vrai, je ne sais même pas comment tu t’appelles.
— Antonio, avouai-je, mais mes amis m’appellent Tony.
— D’accord, Tony, maintenant on se connaît bien assez, tu m’as mis un doigt dans le petit trou, ça veut dire qu’on se connaît très, très bien, alors tu peux me punir, comme tu veux, ce qui te fera plaisir. Tu peux m’attacher pour te venger d’avoir été attaché, tu peux me fouetter ou m’enculer ou me mordre. Toutes les nuits, je rêve qu’un homme me punisse d’être aussi moche et aussi grosse. Alors, sois gentil, fais-moi mal, ...