Elephant’bite - Histoires de Sexe

Elephant’bite

... sensation d’hémorroïde enflammée. Mais je mordis les draps pour ne pas hurler en prenant mon mal en patience en espérant que cela viendrait vite. Puis tout d’un coup, comme par magie, le gros gland rentra d’un coup en moi. Je le sentis dans mon derrière sur quelques centimètres.

— Tu vois, c’est passé, qu’est-ce que je te disais, vas-y pousse encore, encule-moi bien à fond.

Encouragé par ce premier résultat, Romuald saisit alors mes hanches et poussa comme un forcené contre mon fessier. Je sentis alors son gros nœud investir lentement mes intestins, jusqu’à ce qu’il soit tout au fond. Je relâchai alors les draps et laissai échapper un long râle de douleur.

— Ça ne va pas, s’inquiéta Romuald ?
— Putain ce que c’est gros ! Ahhh, j’ai le cul en feu. Il est énorme ton chibre, tu vas m’exploser le cul avec ce truc-là. Laisse-moi reprendre mes esprits quelques minutes avant de continuer.

Nous restâmes ainsi un bon moment, sa bite fichée dans mon anus. Puis quand il sentit que je commençais un peu plus à m’habituer à sa présence, il entama une série de petits allers-retours très doux en essayant à tout prix de me préserver.

— Oh, putain de bite ! Romuald, tu te rends compte que tu m’encules ?

Pour toute réponse, un grognement.

— Et ça te plaît de m’enculer ? Je suis ta petite pute !

Évidemment que ça lui plaisait. Ses allées et venues entre mes reins étaient aussi langoureuses que ses masturbations. Il m’a limé un long moment puis je l’ai senti monter peu ...

... à peu dans mon cul. Il s’est mis à me ramoner un peu plus fort, un peu plus vite aussi, mais sans aucune précipitation. Une fois de plus, il prenait tout son temps, traçait son petit bonhomme de chemin. Il s’est mis à râler et j’ai répondu à ses râles par des cris de bête avant qu’enfin les spasmes de sa bite ne libèrent leur jus en moi.

Nous avons savouré ce moment-là et il est resté enfiché dans mon cul encore un bon moment avant de déculer. L’impression d’être rempli de sperme n’était pas qu’une impression, la capote avait explosé dans mon cul et il n’en restait plus que quelques bouts accrochés tristement à sa bite.

— Quelle merde, regarde-moi ça, c’est de la camelote ces préservatifs !
— Tu m’étonnes que j’aie le cul poisseux, t’as tout juté en moi. Tu m’as engrossée comme la dernière des catins.

Je tournai la tête et vis sa grosse trique couverte de mes souillures de mon cul et j’éclatai de rire. Nouvelle traversée de l’appartement, nouveau passage sous la douche et nouvelles embrassades dans la salle de bain. J’avais le cul qui me brûlait atrocement, mais j’étais hyper heureux d’être le premier à avoir supporté le défonçage de cette grosse trique.

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Par la suite, nous eûmes d’autres relations, Romu et moi, à raison d’une ou deux par semaine. La plupart du temps, c’est moi qui le suçais(je crois que c’est ce qu’il préférait), et quand mon anus était en forme, il m’enculait. Ma mère était vaguement au courant de la situation et nous avait même ...