Elephant’bite - Histoires de Sexe

Elephant’bite

... doute très bien monté, dit-il en se pourléchant les babines comme s’il voulait se l’essayer… Tenez, ceux-ci devraient faire l’affaire, c’est ce que j’ai de plus grand en tout cas… et si vous voulez également des chapelets anaux, profitez-en, ils sont actuellement en super promo.
— Non, ça ira.

Mais il insista pour que j’en prenne un malgré tout, gratuitement, comme cadeau de bienvenue.

Maintenant, nous étions pressés de retourner à la maison. Nous prîmes d’abord une bonne douche ensemble, ce qui me permit de branler et de sucer Romu dans la salle de bain, puis nous traversâmes l’appartement tous deux complètement nus avant de nous enfermer sans plus attendre dans ma chambre.

— Tu crois qu’on va y arriver, ma bite est vraiment trop grosse, se plaignit à nouveau Romuald.
— Ne dis donc pas de bêtise, comment crois-tu que les mecs font pour se faire fister ? Il y en a même qui s’enfoncent des bouteilles dans le trou du cul. Alors j’te jure que tu vas me l’enfiler, ta grosse queue dans le derrière, je la veux en moi, même si tu dois m’exploser le trou du cul.

Première étape. Je commençai déjà par bien lui sucer la queue, comme je l’avais fait la fois précédente, mais sans aller trop loin pour éviter de la faire cracher. Cette fois-ci, Romu semblait nettement plus décontracté, car il mit beaucoup moins de temps à bien raidir.

Seconde étape, l’enfilage du préservatif. Une vraie galère avec ce que nous avait vendu l’autre crétin. Garanti XXL qu’il avait dit, mais ...

... elles n’arrêtaient pas de se déchirer ces capotes : quatre de suite avant d’en enfiler un à peu près correctement, et je dus à nouveau sucer et branler Romuald qui s’était mis à débander lors de cette épreuve.

Avant-dernière étape. Mon compagnon m’enduisit soigneusement le cul de crème avant de bien graisser ses doigts et de les enfoncer un à un dans mon fondement. Les sensations qu’il me prodiguait étaient très agréables. Je lui demandai de bien les faire tourner et de les écarter pour bien m’élargir le sphincter.

— Vas-y, n’aie pas peur, élargis-moi, écarte-moi bien la rondelle.

J’y mis moi-même d’ailleurs les doigts pour constater que mon cul était maintenant totalement ouvert et fin prêt pour recevoir l’offrande de sa grosse bite.

Dernière étape : l’enculage. Je me mis en position à quatre pattes, la tête sur l’oreiller, et fis venir Romuald derrière moi, avant de saisir délicatement son gros mandrin pour le positionner contre mon trou désormais bien béant.

— C’est trop gros, ça ne va pas rentrer, protesta une fois de plus la grosse bedaine.

Toujours à chouiner, celui-là.

— T’inquiète. Vas-y, pousse fort, défonce-moi sans te poser de question.

Il y eut effectivement un long moment d’incertitude où son gland resta coincé à l’entrée, puis je sentis enfin mon sphincter se dilater un peu plus et, très lentement, sa queue rentrer en moi, m’investissant de quelques millimètres.

— Vas-y, plus fort, je sens que ça va venir.

Je souffrais un martyre, ...