1. Elephant’bite


    Datte: 23/05/2024, Catégories: hh, copains, sport, vidéox, Oral hsodo, gay Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... queue et continuais imperturbablement à la léchouiller tout en caressant ses grosses couilles. Ça m’était déjà arrivé de lécher la bite d’autres copains, simplement pour essayer et ne pas mourir idiot. Mais je dois avouer que je n’avais jamais ressenti une telle envie ni un tel désir. Tout m’excitait chez ce gros plein de soupe, sa bedaine, sa pine énorme, ses grosses couilles imberbes et même l’odeur de ses pieds me fascinait. Puisqu’il n’avait pas connu vraiment de femme, comme il me l’avait vaguement avoué, j’espérais moi être sa première petite femelle. Tandis que je le suçais, l’idée que je serais peut-être le premier à être pénétré par sa trique s’imposa à moi. J’ignorais même si cela serait possible, car je n’avais, à ce stade, été sodomisé que par des bites de taille plus modeste. Qu’importe pourtant, j’étais prêt à tous les sacrifices pour que mon ami me ramone le fondement.
    
    ***********
    
    Finalement, son retour dans son école ne s’était pas si mal passé que ça. Bien sûr, les filles rigolaient et certaines se foutaient carrément de sa gueule, mais, dans l’ensemble, elles n’avaient pas été aussi méchantes que ne l’avaient été les gars du rugby.
    
    Désormais, tous les soirs, en rentrant du lycée, Romuald m’appelait, ne serait-ce que pour commenter un peu sa journée. Il me disait qu’il avait beaucoup aimé notre nuit ensemble et qu’il aimerait beaucoup recommencer. Le salaud, il aimait se faire sucer… Je lui répondis que « oui », « pourquoi pas », « au contraire », ...
    ... et « ce serait avec grand plaisir », mais que moi aussi j’avais certains désirs et que j’aimerais beaucoup me faire enculer. Il ne sauta pas de joie à cette perspective, rétorquant qu’il n’y arrivait déjà pas avec les filles et que dans le cul c’était encore plus compliqué. N’empêche que j’insistai :
    
    — Ça ne coûte rien d’essayer.
    
    ***********
    
    Le samedi suivant, nous allâmes nous balader du côté de la gare. Il y avait là-bas un sex-shop un peu miteux et nous mîmes un temps fou à tourner tout autour, avant de nous y engouffrer. Le vendeur nous vit venir, deux mecs ensembles, sans doute pédés, il nous perça à jour dès le premier coup d’œil. Alors que je lui demandais ce qu’il avait comme lubrifiants :
    
    — Il a celui-ci, il est vraiment très bien et spécialement conçu pour préparer une sodomie.
    
    Le rouge me monta tout de suite aux joues. Ça se voyait tant que ça que j’avais envie de me faire mettre ? Romuald, de son côté, préféra ne pas entendre et faire semblant de fouiller dans les bacs de DVD.
    
    — Je voudrais savoir aussi si vous avez des préservatifs de très grande taille.
    — Pour vous ou votre compagnon ?
    
    Comme si cela pouvait avoir une quelconque importance que ce soit pour moi ou pour Romu. Mais, soumis à la sagacité du vendeur, je répondis par un petit « Pour mon compagnon » à peine audible, car d’autres clients nous regardaient. Le pervers s’en délecta et j’eus la désagréable surprise de le voir jauger l’entrejambe de mon ami.
    
    — Votre compagnon est sans ...
«12...111213...»