1. Un long dimanche sous la pluie


    Datte: 22/05/2024, Catégories: fh, fplusag, jeunes, poilu(e)s, strip, odeurs, pied, Masturbation caresses, intermast, Oral préservati, pénétratio, init, initiatiq, diffage, Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe

    ... voiture l’autre fois, du coup, poursuivit-elle.
    — Décontenancé ? Pourquoi donc ?
    — Eh bien, tu as dû te rendre compte que je suis plutôt nature comme fille. Bien loin des bimbos épilées des pornos devant lesquels tu te masturbes !
    
    Martin rougit de se sentir ainsi mis à nu dans son intimité.
    
    — C’est que je dise que tu te masturbes qui te met mal à l’aise ? Voyons, tous les hommes le font, et encore plus quand ils sont jeunes et pleins d’hormones comme toi. Mais tu sais, ne crois pas que c’est différent pour les femmes. Beaucoup le font, même si elles n’en parlent pas.
    
    Martin, interpellé par les mots, se mit à penser aux femmes qu’il connaissait et à se demander lesquelles pouvaient bien se masturber, lorsqu’il reposa les yeux sur Marie-Claude, il réalisa qu’elle avait ôté son jean et se tenait debout face à lui en petite culotte. Son cerveau se figea comme tout le reste de son corps, ce que ne manqua pas de remarquer la jeune femme. Elle sentit la tendresse l’envahir. Ce jeune homme débutait sa vie et il avait tant à apprendre sur tout, mais avant tout sur les femmes, si tant est qu’il ne se découvre pas une attirance aussi pour son propre sexe un jour. Elle se tourna et saisit un peignoir de soie noir orné de roses rouges qu’elle enfila avant de nouer la ceinture sur ses hanches.
    
    — Allez, assieds-toi ! Tu veux quelque chose à boire ?
    — Euh, oui, je veux bien.
    — Café, thé, tisane ? Je te proposerais bien quelque chose de plus fort, mais je crois qu’il est un ...
    ... peu tôt.
    — Euh, un grand café, ça sera parfait.
    — Alors ça fera deux cafés.
    
    Elle se dirigea vers la petite cuisine ouverte jouxtant le salon et chargea deux capsules dans la machine. Martin la regarda se déhancher, cherchant ses formes sous les plis amples du peignoir. Une minute plus tard, elle se retourna avec deux mugs fumant dans les mains et revint vers lui. Martin allait s’asseoir dans un des fauteuils, mais Marie-Claude le reprit.
    
    — Assieds-toi dans le canapé à côté de moi, tu seras mieux.
    
    Elle s’assit dans toute la profondeur de l’assise, tirant sur les pans du peignoir de manière à dévoiler ses jambes jusqu’à mi-cuisses.
    
    — Alors, dis-moi, qu’y avait-il d’écrit dans cette lettre que tu voulais me remettre ?
    — Eh bien… je voulais vous remercier pour l’autre matin. Sans vous, je ne serais jamais arrivé à l’heure à mon examen, et…
    — Et ?
    
    Marie-Claude exultait de le voir rougir jusqu’au bout des oreilles de ce qu’il n’osait prononcer.
    
    — Et… enfin… de tout le reste aussi.
    — De tout le reste ? Tu peux être plus précis ?
    — Eh bien, quand vous m’avez pris la main et… enfin, quand vous l’avez mise entre vos jambes.
    — C’est tout ?
    — Euh… non, quand vous vous êtes occupée de moi aussi.
    
    Marie-Claude resta silencieuse, ses deux iris noisette figés dans ceux de Martin qui fut pris d’une violente bouffée de chaleur d’être ainsi scanné par une femme, par cette femme qui le dévorait du regard. Bien qu’habillé, jamais il ne s’était senti aussi nu. C’est comme ...
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