Un long dimanche sous la pluie
Datte: 22/05/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
poilu(e)s,
strip,
odeurs,
pied,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
initiatiq,
diffage,
Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe
... caractère chaleureux. En faisant quelques pas supplémentaires, il s’aperçut que les tableaux encadrés aux murs étaient en fait des photos en noir et blanc de nus. Et tout portait à croire qu’il s’agissait d’elle.
— Tu aimes ?
— Oh, je… Oui, beaucoup.
— C’est un ami photographe qui les a prises. Il a vraiment un œil incroyable pour sublimer les corps.
Martin s’approcha d’une des photos pour tenter de la détailler. L’image ressemblait à un enchevêtrement de formes organiques qui faisaient penser à ces chiens dont la peau dessinait des bourrelets épais.
— Ça te plaît ? C’est une vulve prise en très gros plan.
— Une vulve ?
— Oui. Tu le découvriras avec les années, mais la vulve d’une femme, c’est comme un visage. Chacune est unique, avec ses couleurs, son mouvement, son parfum et son goût. Comme un visage. Et puis avec cette mode des sexes épilés intégralement que je n’aime pas particulièrement, ça a au moins le mérite de faire découvrir la beauté des sexes de femmes. Dommage qu’il ait fallu attendre si longtemps après l’œuvre audacieuse de Courbet. Tu la connais ?
— Euh oui, je l’ai vue en allant au musée d’Orsay quand j’étais au lycée.
— Et qu’est-ce que tu en as pensé ?
— Ben, c’était bizarre tous ces poils. Ça n’était pas trop ce qu’on a l’habitude de voir.
— De voir où ?
— Ben à la télé, dans les pornos.
— Mon Dieu, les pornos ! Ils ont le mérite d’exister et de combler le vide abyssal de l’éducation sexuelle des jeunes que la société et l’école se ...
... refusent encore à faire, mais bon… tu parles d’un modèle ! Ça t’excite vraiment un sexe tout lisse de petite fille ?
Martin resta muet.
— Évidemment, comme vous ne connaissez que ça et que c’est érigé en modèle de beauté… Enfin !
Marie-Claude se dirigea vers la salle de bain attenante au salon tout en veillant à laisser la porte largement ouverte derrière elle. Elle commença par ôter son pull en grosses mailles trempées, laissant apparaître un maillot de corps blanc rendu presque transparent par l’humidité. Le regard de Martin quitta l’image grossie de la vulve monochrome pour suivre le chemin de la jeune femme, se tordant le cou pour tenter de l’apercevoir se déshabiller. Marie-Claude attrapa une serviette dont elle entoura ses longs cheveux bruns lissés par la pluie au-dessus de sa tête pour les sécher, bombant le buste et faisant apparaître la pointe de ses seins nus à travers son haut. Martin l’observait se cambrer et agiter ses mains autour de chacune de ses mèches, faisant ondoyer sa poitrine menue. Ses yeux détouraient sa silhouette, épousant le galbe de ses fesses charnues sous son jean. La jeune femme laissa retomber sa chevelure ébouriffée sur ses épaules et dans son dos, puis vint croiser les bras devant elle et attraper le bas de son débardeur qu’elle fit remonter au-dessus de sa tête d’un geste. Martin resta figé devant la cambrure de son dos ambré et se demandait jusqu’où allait aller l’effeuillage.
— J’espère que tu n’as pas été trop décontenancé dans la ...