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Un long dimanche sous la pluie
Datte: 22/05/2024, Catégories: fh, fplusag, jeunes, poilu(e)s, strip, odeurs, pied, Masturbation caresses, intermast, Oral préservati, pénétratio, init, initiatiq, diffage, Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :Marie-Claude, belle brune à la trentaine a emménagé à côté de chez Martin, étudiant à l’université et encore bien inexpérimenté avec les femmes. Après avoir assisté clandestinement à une séance de bronzette voluptueuse dans son jardin et s’être fait conduire à ses examens de manière brûlante par la belle, notre héros brise l’ennui d’un dimanche pluvieux avec la petite culotte laissée par la belle. Assis à son bureau, Martin regardait par la fenêtre, le regard comme perdu en direction de la silhouette de la maison de Marie-Claude à travers le dense rideau de pluie qui s’abattait au-dehors. Le souvenir de la course de l’autre matin avec elle, enserrés dans la petite coque de la mini rouge, restait gravé dans son esprit. D’un geste, il ouvrit le tiroir du haut de son bureau et en sortit une petite boîte en carton dont il extirpa une boule d’étoffe soyeuse. Il la porta à ses narines pour en respirer les derniers effluves du parfum capiteux et puissant qui s’en dégageait. Martin avait traité comme une relique la culotte largement imbibée de mouille que lui avait laissée Marie-Claude après l’avoir déposé devant la fac pour passer ses examens. Il l’avait serrée et malaxée de sa main libre dans sa poche pendant toute la semaine de partiels et elle avait été la pièce maîtresse de ses séances de masturbation nocturne. Deux semaines étaient passées, mais le triangle d’étoffe n’avait que peu perdu de son pouvoir hypnotique, tout autant olfactif que ...
... fantasmatique. Il déposa la petite boule noire devant lui et l’étira de manière à retrouver la forme triangulaire caractéristique. Ses pupilles se dilatèrent devant la beauté du sous-vêtement offert à son regard. Il détailla la finesse des dentelles, laissant courir son doigt sur les fines coutures périphériques. La pulpe de ses doigts parcourait l’étoffe comme s’il était en train de caresser les hanches d’une femme, avec légèreté et excitation. Les bouts de ses doigts caressaient avec révérence ce tissu qui avait été en contact avec le sexe de sa voisine, et qui s’était imprégné de son parfum et de sa liqueur intime. Martin retourna le sous-vêtement pour en ausculter une nouvelle fois l’intérieur. Il scruta avec soin la fine doublure à l’entrejambe, légèrement colorée par les usages du temps. Les yeux rivés dessus, il porta l’ensemble contre son nez et ferma les yeux pour concentrer toute son attention sur le seul et unique sens de son odorat. Il inspira profondément plusieurs fois pour saturer sa cavité nasale de chaque molécule de parfum, cherchant à les identifier une à une. À mesure que le parfum de la vulve de Marie-Claude l’envahissait, son esprit sombrait doucement dans les sensations de ses doigts plongés dans la fente humide de la jeune femme qui lui avait ouvert toutes grandes les portes de sa jouissance. Il pressa plus fort la petite culotte entre ses doigts comme pour en extraire davantage de senteurs qu’il essayait de capter à coup de grandes inspirations. Rendu ...