1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (27) : Les aman


    Datte: 21/05/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... comprends tous tes désirs, meam speciosus (« ma belle ») et je t’aiderai à les réaliser.
    
    Tullia prend la main de Julia et l’embrasse tendrement.
    
    • Avec ta terrible mère, je suis certaine que tu as eu une éducation très classique et que tu es totalement innocente.
    
    • Je suis prête à tout apprendre avec toi, Tullia.
    
    • Tu viendras chez moi, ma bibliothèque et mes parchemins sont à ta disposition. Comme je l’ai fait à l’adolescence, je te ferai découvrir les ouvrages que tu dois avoir lus. Je te ferai connaitre des auteurs comme Catulle, Tibulle, Properce et surtout Ovide (voir « (1) : l’éducation de Tullia », publié le 6 août 2021). Aujourd’hui, j’ai déjà apporté pour toi « L’Art d’aimer » d’Ovide, mais aussi un véritable trésor, presqu’introuvable, un ouvrage de Philénis de Samos, poétesse et hétaïre grecque, qui vécut au siècle d’Alexandre le Grand. Ce livre comprend les meilleures positions sexuelles, les parfums, les cosmétiques, les moyens de provoquer des avortements, l'art du baiser et l'art de la séduction, y compris entre femmes. J’ai compris que cela t’intéressait aussi, n’est-ce pas ?
    
    • Je veux tout apprendre, Tullia, répond la jeune fille en baissant les yeux. Tu sais, depuis que je suis nubile, je me donne très souvent du plaisir. Encore hier soir, en pensant à Lucius mais aussi à toi, à ce que vous aviez fait dans cette salle des Thermes.
    
    • J’avais tout de suite compris ce dont tu rêvais. J’étais comme toi, à ton âge, ma belle.
    
    A ce moment-là, ...
    ... Tullia et Julia entendent les cris de plaisir de Fausta.
    
    • Que lui arrive-t-il ? Elle souffre ?
    
    • Au contraire ! Viens, allons les observer !
    
    • Je n’oserai pas !
    
    Tullia prend Julia par la main et l’entraine, sans faire de bruit, vers la chambre de Fausta. La porte est ouverte et permet de voir sans être vus. Tullia place Julia contre elle, ses mains sur la poitrine de la jeune fille, elle l’embrasse dans le cou et lui parle dans l’oreille.
    
    Fausta est à quatre pattes sur le lit et tend sa croupe à son amant :
    
    • Claudius, futuis me. Ego sum meretrix tua (« Baise-moi. Je suis ta putain »)
    
    • Accipe hoc, mea mare (« Prends ça, ma jument »)
    
    La jeune fille n’en perd pas une miette.
    
    • Il met en elle cette énorme chose ? Il ne va pas la blesser ?
    
    • Au contraire ! Le vagin d’une femme est le fourreau qui est fait pour l’épée de l’homme. Ecoute-la ! Regarde-la, le plaisir qu’elle prend !
    
    • Ça me fait peur et ça m’excite en même temps. Je suis toute trempée ! Quand je suis comme ça, j’ai besoin de me soulager, de me caresser.
    
    • Allons dans ta chambre, ma belle !
    
    Aussitôt arrivées dans la chambre de Julia, Tullia prend le contrôle. Elle embrasse Julia avec passion, lui laissant seulement le temps de reprendre son souffle. Ses mains parcourent le jeune corps. Julia se laisse faire, heureuse de ce moment auquel elle aspirait. Pour Tullia c’est aussi une première. Elle a déjà eu des amantes, Lucia, Messaline, Epicharis, Maura, Sylvia, mais jamais elle ...