1. La métamorphose de la chrysalide


    Datte: 19/05/2024, Catégories: fh, fhh, inconnu, train, Oral Partouze / Groupe fsodo, extraconj, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... rendez-vous m’obligeait à me concentrer sur mon travail. Rentrée à l’hôtel, je m’organisai.
    
    Un peu avant 19 h 30, je descendis au bar de l’hôtel. J’avais fait préparer une bouteille de champagne et des flûtes. Adrien arriva dans le bar, fonça vers moi, allait m’embrasser quand il aperçut la bouteille et les trois verres.
    
    — Tu attends quelqu’un d’autre ?
    
    À cet instant, Antoine arriva. Lui aussi avait bien suivi ma consigne d’arriver à l’heure. Adrien et Antoine se regardèrent. Je servis le champagne et tendis une flûte à chacun.
    
    — Je n’ai pas besoin de vous présenter, vous vous connaissez déjà, le milieu des artisans tisseurs lyonnais n’est pas si grand. Pour ma part, j’ai fait la connaissance d’Adrien hier soir dans le train et j’ai rencontré ce matin Antoine dans son atelier. Antoine a bien essayé de me draguer pendant le déjeuner, mais pas de façon trop lourde, il n’a pas insisté.
    
    Les deux hommes me regardaient, sans comprendre.
    
    — J’en viens à mon invitation. Vous êtes les seuls hommes que je connaisse à Lyon. Et je vous veux maintenant dans mon lit.
    
    Adrien recracha son champagne de stupeur.
    
    — Mais j’ai deux conditions : vous arrêtez immédiatement et sans histoire si je vous le demande, je ne veux aucune pénétration sans capote.
    — Ce que femme veux…, dit simplement Antoine.
    
    Nous embarquâmes la bouteille et les verres et montâmes dans ma chambre. Mes deux hommes se regardaient, ne parlaient pas. Arrivée dans la chambre, je me déshabillai. Ce fut ...
    ... rapide, car je n’avais que mon chemisier et une jupe courte, n’ayant pas mis de sous-vêtements.
    
    Antoine fut le plus rapide. Il se mit nu, s’assit sur le lit et me demanda de le sucer.
    
    Je me suis mise immédiatement à la tâche. Sa queue était plutôt courte, mais large. Ses poils étaient rasés, faisant ressortir des couilles massives.
    
    — Je ne me serais jamais douté que tu étais une salope, me dit-il.
    
    Pendant ce temps, Adrien n’avait pas bougé. Je lui fis signe de venir et d’une main, dégrafai la ceinture, baissai son pantalon, puis son boxer. Je retrouvai avec plaisir sa queue en érection. Il sembla se réveiller, vira ses vêtements et me présenta son sexe. Je me mis à sucer alternativement l’un et l’autre, pendant que des mains baladeuses venaient sur mes seins, sur mon cul, entre les jambes.
    
    À un moment où je suçais Adrien, Antoine vint se placer derrière moi. Il me caressa les fesses, enfourna deux doigts dans mon sexe. Après quelques instants, il se releva et j’entendis le bruit de l’emballage du préservatif.
    
    — Tu mouilles à mort. Je vais te bourrer, tu m’en diras des nouvelles.
    
    Et il me pénétra sans attendre. Pendant qu’il me pilonnait, je continuais de sucer Adrien, ma fellation étant rendue délicate par les grands coups de boutoir d’Antoine.
    
    — Putain, que c’est bon ! Je vais jouir, lança Antoine.
    
    Et je sentis son foutre couler. Antoine se retira et alla boire un verre de champagne. Adrien me repoussa, mit une capote et, m’attirant vers lui, me ...