La métamorphose de la chrysalide
Datte: 19/05/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
train,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
extraconj,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... pénétra. Je retrouvais avec bonheur sa queue qui me remplissait si bien. Comme il était sur le dos, c’est moi qui donnais la cadence en faisant coulisser sa queue dans ma chatte.
— Alors les amis, vous permettez que je vous accompagne ?
Antoine était revenu vers nous. Je lui entamai une nouvelle fellation tout en continuant de chevaucher Adrien. Il reprit vite de la vigueur, repassa derrière moi.
— Tu as un cul à faire bander les morts, et comme je suis bien vivant…
Il prit le tube de lubrifiant que j’avais posé sur la table et se tartina la queue.
— Tu avais tout prévu !
Le moment pour lequel j’avais monté ce rendez-vous était arrivé. Je fantasmais depuis quelque temps sur la double pénétration, mais sans jamais imaginer la réaliser un jour.
Antoine se mit derrière moi, appuya sa bite sur ma rondelle et poussa. Heureusement que j’avais assoupli et lubrifié le passage. J’avais arrêté de chevaucher Adrien, sa bite était bien au fond de mon vagin. Je sentais la queue d’Antoine commencer à forcer l’œillet.
— Putain, qu’est-ce que tu es serrée !
Il poussait, mais l’étroitesse du conduit, la présence de la queue d’Adrien le bloquait dans sa progression. Je me retirai un peu d’Adrien, Antoine occupant immédiatement la place libérée. Puis ils trouvèrent un terrain d’entente. Quand l’un poussait, l’autre se retirait.
Mon cul me faisait mal, enchaîner un dépucelage anal avec une double pénétration était peut-être un peu rapide. Mais la queue d’Adrien me ...
... faisait oublier ce désagrément et je ne leur ai pas demandé de s’arrêter.
Petit à petit, le passage s’est assoupli et les deux queues ont commencé à me pistonner en cadence. Je commençais à bien me sentir, à apprécier cet envahissement de mes deux orifices. Même les réflexions d’Antoine m’amusaient.
— Prends ça dans le cul, t’en trouveras pas des meilleures.
— On va te faire grimper aux rideaux, tu t’en rappelleras encore quand tu seras vieille.
J’ai commencé à m’agiter, à pousser de petits jappements, le pilonnage continuait.
— Plus fort, plus fort !
Et mes deux hommes se déchaînaient. J’eus un flash, une violente contraction puis la délivrance arriva. L’orgasme me suffoqua. Je m’effondrai sur Adrien.
— Je lâche la purée ! lança Antoine.
Quand Antoine se retira, Adrien me bascula sur le dos et me baisa à grands coups de queue, vira son préservatif et m’arrosa de son sperme. Antoine nous regardait,
— Putain, c’était une bonne séance de baise ! Je me suis bien vidé les couilles, t’es vraiment un sacré coup. Et on n’a pas fini.
Ensuite, je perdis le contrôle de la situation.
Pendant un long moment, j’eus toujours une bite dans la bouche, dans la chatte ou dans le cul. Je ne savais plus qui me baisait, je me laissais faire, comme une poupée gonflable qu’on mettait en position, les queues me pénétraient, les gars jouissaient en m’arrosant de leur jus. Et j’enchaînais orgasme sur orgasme.
Quand j’émergeai de ma torpeur, la chambre était redevenue ...