1. Suite avec des noirs très larges


    Datte: 17/05/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    ... occupée par une troisième bite du même format.
    
    Tous les danseurs nous avaient suivi. Ils étaient là, la bite à la main, des bites formats XXL.
    
    Ça y est, je vais enfin me faire baiser, j’appréhende un peu au vu du format des bites, mais j’en ai trop envie.
    
    Mon cavalier me déshabille, devant ma guêpière, il siffle.
    
    — Isabelle a le chic pour bien présenter la marchandise.
    
    Hé oui, je n’étais que cela, de la marchandise, une petite pute blanche offerte à toutes ces queues.
    
    Mon cavalier s’allongea sur le lit.
    
    — Suce-moi.
    
    Je me mis à genoux entre ses cuisses, à sa demande j’écartais les miennes consciente de la vue que j’offrais aux spectateurs. Je me saisis de sa bite, un truc hors norme, au moins 30cm, ma main ne pouvais en faire le tour, et le gland comme une balle de tennis. J’ai une grande bouche, une bouche de suceuse disaient les garçons du cours de coiffure, mais là c’était au-dessus de mes capacités, du moins je le croyais. Je commençais par lécher le gland, ma langue en prenait possession, en faisait le tour, je lui titillais le méat, léchais la tige sur toute sa longueur. Puis je tentais de l’emboucher, et, miracle, j’y réussis. Je faisais coulisser cette bite énorme entre mes lèvres, fière d’y réussir. Dans ces moments de turpitudes, quand je m’abandonnais à ma soif de sexe, je ne pouvais m’empêcher de penser au chemin parcouru depuis mon mariage tout récent, et surtout à Norbert qui ne se doutait de rien, qui me croyait toujours sa petite épouse ...
    ... fidèle et un peu coincée.
    
    Mon cavalier appela un des mecs présents.
    
    — Viens me la préparer.
    
    Une langue s’empara de ma chatte, m’écarta les lèvres, elle était dure, râpeuse, longue. Elle forçait ma chatte comme une bite, s’enfonçant au maximum. Un doigt remplaça la langue, il s’introduisit dans mon con, un deuxième suivit, puis un troisième, il m’élargissait la chatte, la préparant à la pénétration de cette bite XXL. La langue ne restait pas inactive, elle s’était attaqué à ma rosette, la pénétrant elle aussi, je n’étais pas insensible à ce traitement, mon cul allait au-devant de ces pénétrations, je n’en pouvais plus il me fallait de la bite.
    
    Soudain, la bite que je suçais avec application, se cabra, le foutre envahit ma bouche, j’avalais avec délice cette liqueur que j’avais appris à apprécier.
    
    Mon cavalier se retira.
    
    Il n’avait pas débandé. J’étais à genoux. Il m’appuya sur le dos me forçant à me courber, le cul offert.
    
    Sa bite se présenta à l’orée de mon con, le gland s’enfonça, m’ouvrant la chatte, au fur à mesure de la progression de son braquemart, j’avais l’impression d’être ouverte en deux, je sentais ce monstre envahir ma petite chatte, il me faisait mal, mais en même temps c’était tellement bon. Je n’avais jamais ressenti cela.
    
    Ça y est, il est tout en moi. Envahie par cette bite monstrueuse, je sens l’orgasme arriver, alors que mon baiseur ne bouge même pas. Sa seule présence suffit. Il se met quand même à remuer, doucement d’abord, puis de ...