Suite avec des noirs très larges
Datte: 17/05/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Omarrrr, Source: Hds
... besoin de traduction.
Je commençais à me demander où Isabelle m’entraînait. Je lui posais la question. Sa réponse fut évasive, me promettant seulement une expérience inoubliable.
Nous arrivâmes devant une porte. Isabelle toqua apparemment selon un code convenu.
Un judas s’ouvrit, puis la porte. Un grand black, gigantesque, saisit Isabelle dans ses bras, sa bouche s’empara de celle de mon amie, sa main fila sous sa robe.
Isabelle gloussait.
Le black la lâcha, il me regarda.
— T’apporte de la chair fraîche.
Il me saisit dans ses bras, me décolla du sol, sa bouche s’empara de la mienne, sa langue forçat mes lèvres, une langue énorme, râpeuse, je ne pus m’empêcher de l’imaginer me fouillant la chatte, et instantanément, celle-ci s’ouvrit, je sentais la mouille humecter mes lèvres, mon clito bandait. Le black passa sa main sous ma robe, il constata mont état, ses doigts, en rapport avec sa taille, fouillèrent ma chatte quelques instants, puis il me reposa.
— Elle est chaude la salope, on va se régaler.
J’avais les jambes flageolantes. Un rideau séparait une salle de l’entrée. Une demi pénombre régnait. Une dizaine de black se déhanchaient sur de la musique latino. Nous étions les seules blanches, et les seules femmes.
Nous nous installâmes à une table, les sièges étaient profonds, ma robe s’était relevée, exposant ma nudité. J’essayais d’y remédier, mais Isabelle m’en empêchât.
— Laisse, nous sommes là pour nous faire baiser, autant qu’ils ...
... puissent admirer la marchandise.
Elle-même avait relevé sa robe, écartant les cuisses, elle s’offrait sans pudeur aux regards concupiscents des danseurs.
Un barman nous apporta deux punchs d’office.
Plusieurs blacks vinrent nous inviter. Les danses étaient lascives, les danseurs dansaient bien, ils me frôlaient, je sentais leurs bites qui me semblaient énormes, mais rien, pas une proposition, pas un geste équivoque. Je commençais à me dire que rien ne se passerait, et j’étais déçue. Je repensais à la langue râpeuse, aux bites que j’avais pu deviner à travers les pantalons. Je mouillai, je sentais ma chatte ouverte, mais pour qui ?
Un nouveau cavalier se présenta. Il était différent, plus classe, sûr de lui, les autres semblaient lui témoigner du respect.
Il me fit signe d’approcher, puis me prenant dans ses bras, il attaqua une danse. Rien à voir avec les autres, il me tenait collé contre son corps. Ma poitrine s’écrasait sur la sienne, sa jambe, infiltrée entre mes cuisses, frottait ma chatte, je commençais à partit. La danse cessa, j’étais restée sur ma faim. Isabelle avait disparue, un peu inquiète je demandais où elle était.
— Tu veux que nous allions la rejoindre ?
A ma réponse positive, mon cavalier m’entraîna derrière un autre rideau, une porte. Isabelle était là, Un lit occupait le centre de la pièce, un grand lit. Prise entre deux noirs à la bite énorme, Isabelle jouissait sans retenue, elle avait du mal à exprimer sa jouissance, car sa bouche était ...