1. Suite avec des noirs très larges


    Datte: 17/05/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Omarrrr, Source: Hds

    Isabelle m’a proposée d’aller danser lundi après-midi. Elle sait que j’adore cela. Elle m’a donnée rendez-vous chez elle. Dès mon arrivée, elle m’a prise dans ses bras et m’a embrassée avec passion. C’était devenu un rituel chez nous. Isabelle m’aimait et elle me le prouvait. Je ne faisais rien pour la décourager. Je n’étais pas gouine, mais je n’étais pas insensible à ses caresses.
    
    Isabelle m’a préparée pour la sortie. Elle m’a déshabillée, c’était vite fait, car comme d’habitude, je n’avais que ma robe, pas de dessous inutiles. Tout d’abord, un lavement, il faut toujours être prête à tout. Elle a vérifié l’épilation de ma chatte, quelques poils sont apparus qu’elle s’est empressée d’éliminer. Allongée sur le lit, cuisses largement ouvertes, je lui offrais mon intimité. Elle a sorti de son armoire une guêpière qu’elle m’a enfilée. C’était la première fois que je mettais ce genre d’accessoire. Celle-ci se laçait dans le dos. Elle dégageait largement la chatte et le cul, le laçage très serré m’obligeait à me cambrer, faisant ressortir mon cul. Les seins n’était pas couverts, mais présentés comme sur un plateau. Malgré la chaleur J’enfilais des bas que je fixais au porte-jarretelles. Isabelle m’a maquillée, y compris mes tétons.
    
    Isabelle m’a emmenée devant le miroir. L’effet était saisissant. Elle a accentué l’épaisseur de mes lèvres, mes yeux étaient soulignés de khôl, mes tétons bandaient, fardés de rouge, la guêpière accentuait la finesse de ma taille et mettait mes ...
    ... seins en valeur. Isabelle a complété ma tenue par un plug anal de bonne taille. Pour me préparer, m’a-t-elle dit.
    
    J’ai enfilé une robe très courte et boutonnée devant. Isabelle a boutonné ma robe en laissant deux boutons détachés en haut et en bas. À chaque pas on pouvait voir la lisière de mes bas – quant au haut, mes seins étaient presque visibles. Il ne fallait pas que je me penche.
    
    Nous voilà partie. Je croyais y aller en voiture, mais Isabelle avait décidé de prendre le métro. J’avais un peu honte de ma tenue, une vraie pute. Les hommes me regardaient avec du désir dans les yeux, les femmes avec de la réprobation… à part une ou deux. Comme à chaque fois que nous étions en public, Isabelle montrait que je lui appartenais. Elle me serrait contre elle, m’embrassant, sa main posée sur mes fesses. Parfois, pour provoquer, elle me plaquait contre un homme, celui-ci ne savait que faire, mais quand je saisissais sa bite à travers son pantalon, il comprenait, sa main filait sous ma robe, il constatait alors avec surprise que j’étais cul nu.
    
    Nous sommes descendues dans un quartier que je ne connaissais pas. Des graffitis partout, les rues étaient sales. Des groupe d’hommes, black où maghrébins stationnaient devant des bars sordides. J’avais un peu peur, Isabelle semblait à son aise. Sur notre passage, les hommes lançaient des réflexions dans leur langue, on ne comprenait pas, mais leurs gestes équivoques (ils se touchaient la bite à travers le pantalon), n’avaient pas ...
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