1. My blue swedish shoes


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... fine bouche…
    
    Elle approche ses lèvres de ma queue avachie, elle en embrasse délicatement le bout, ce qui me fait frémir. Puis elle capture ma verge entre ses lèvres, gobant ma tige qui reprend déjà un peu du poil de la bête. Peu après, mon sexe disparaît à moitié dans sa bouche, commençant à durcir. Rachel active le mouvement autour du pieu de chair qui redevient majestueux.
    
    Délaissant ma colonne bien dressée, elle constate :
    
    — Ta bite est dure et grosse, maintenant…
    — Tu veux que je revienne en toi ?
    — Bien sûr, c’est évident !
    
    Je me remets en position, puis avec délectation, j’enfonce posément mon pieu dans son antre détrempé. Rachel halète, nouant férocement ses jambes autour de mon dos, bien décidée à jouir une fois de plus. Après quelques pistonnages et barattages, ma compagne ne tarde pas à se tétaniser, à trembler, avant de déflagrer !
    
    Tandis que je la contemple en train de jouir, je me dis qu’elle a actuellement un gros retard à rattraper. Je me demande jusqu’à quel point, Augustin et elle se laissaient joyeusement aller dans l’intimité. Je me dis que, de mon côté, j’ai peut-être une bonne carte à jouer !
    
    Peu après, Rachel se confie, lovée contre moi :
    
    — Je dois reconnaître que mon ex savait me faire perdre mon contrôle ! Tellement que j’en avais honte !
    — Il ne faut pas, ma louloute ! Lâcher prise est naturel.
    
    Sous doute à l’évocation de ce surnom, elle sourit :
    
    — Avec toi, c’est différent…
    — Tu n’as plus honte ?
    — Non, je sais ce que ...
    ... j’ai perdu avec le décès d’Augustin et surtout depuis que je suis mariée avec Roger.
    
    Je plaisante :
    
    — Visiblement, tu rattrapes le temps perdu, ma jolie ! À ce tarif, je vais être obligé de demander de l’aide ! Un seul homme ne te suffira pas !
    
    Elle me regarde un peu en biais, je me demande si je n’ai pas dit une grosse imbécillité, même si je l’ai dite sur le ton de la plaisanterie. Elle finit par dire :
    
    — Hmmm… qui sait… t’as peut-être raison, Jean-Michel.
    — Ah oui ?
    — Parfois, avec Augustin, j’ai fantasmé sur le fait que plusieurs hommes s’occupaient de moi, mais je n’ai jamais osé le lui dire.
    — Il aurait peut-être été ravi. De plus, ma mignonne, avouer un fantasme ne veut pas dire forcément passer à l’acte.
    — Je sais, je sais, mais j’avais quand même honte de l’avouer.
    
    Je continue de la caresser :
    
    — Mais pas avec moi, à ce que je vois.
    — Toi, c’est différent… je ne sais pas comment l’expliquer.
    — Peut-être le fait que je ne sois pas ton mari…
    — Oui, c’est peut-être l’explication. Mais t’es quand même mon supérieur hiérarchique !
    — Pas ici dans cette chambre.
    
    Elle me regarde en haussant les sourcils :
    
    — Tu sais bien séparer les choses, toi.
    — Il me semble que oui.
    — Si seulement j’avais cette facilité ! En tout cas, même si je n’étais pas très chaude pour venir en Suède, je ne regrette pas d’être venue !
    
    Je plaisante à nouveau :
    
    — C’est même plus chaude que tu es, mais carrément bouillante !
    — Eh bien, assure ! Refroidis-moi avec ...