1. Ah ! Les mamans...


    Datte: 13/05/2024, Catégories: fh, extracon, vacances, plage, Oral pénétratio, fsodo, diffage, lieuloisi, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... qu’il l’a depuis longtemps, la dimension étant assez rare.
    
    — Ouf ! me dit-elle sur le chemin du retour. Cent quarante francs, ça va. Je craignais pire…
    — Non, il a été sympa, il a fait un prix.
    — Et vous, combien je vais vous devoir ?
    — Ah moi, je n’ai pas de prix. Un sourire par exemple ?
    — Ha ha ! Ça va, pas trop cher. Un bisou même, j’irai jusque-là.
    — Attendez que la réparation soit terminée.
    
    Remettre la roue est chose facile. Après, il faut rééquilibrer la caravane. Or, comme j’ai creusé pour dégager les pieds, il me faut dégoter une vieille palette à la boutique du camping, la démonter, et soulever quatre fois la caravane aux quatre coins pour poser les pieds sur les planchettes de bois. Eh oui, impossible de mettre la main sur la manivelle manœuvrant ces fichus pieds, le mari a dû la remporter dans son coffre. Merci. Je finis trempé comme une soupe et je cours aux douches collectives pendant que Michelle, c’est ainsi qu’elle se prénomme, lit en écoutant son petit transistor. Je reviens propre et rafraîchi pour réclamer mon dû, un bisou. Elle s’exécute volontiers avec un magnifique sourire mais, comme elle est petite et que je refuse de me baisser, elle doit se coller à moi et se hisser sur ses pointes. J’en réclame un second pour la suée de l’après-midi. Ce petit corps collé contre le mien m’excite instantanément et mon boxer passe aussitôt en « poutre apparente ».
    
    — Ben dites donc, c’est moi qui vous fais cet effet ?
    — Je ne vois pas d’autre femme ...
    ... collée contre moi… Un autre ? J’aime ça…
    — Autant que vous voulez. Je ne pensais pas pouvoir donner des envies à un jeune homme.
    
    Cette fois, je mets mes mains autour d’elle, ce qui me provoque une émotion rare. Elle est si menue, semble si fragile, rien à voir avec la femme athlétique de l’an passé. J’en bande plus fort encore. Je tourne légèrement la tête et nos lèvres se rencontrent, à la commissure d’abord, puis plus franchement. Soudain, elle se recule.
    
    — Je… je dois aller chercher les enfants… excusez-moi.
    
    « Culpabilité, sors de ce corps » ! Oh là là, comme c’est mal ce que je viens de faire ! Ça, il ne faut vraiment pas. Je suis une femme mariée, mère de famille, sérieuse et tout et tout.
    
    — Mais, il n’est pas cinq heures, dis-je en me rapprochant d’elle.
    — Non, non il ne faut pas…
    — Il ne faut pas quoi ? Il ne faut pas que ça se sache pour ne faire de mal à personne ? Là, je suis d’accord.
    
    Nous rentrons donc dans la caravane pour « en tester le calage ». Elle se laisse embrasser, longuement. Mes mains trouvent des petits seins très réactifs et des fesses étonnamment développées, rondes et fermes. Ce n’est pas seulement sa taille fine qui fait galber sa robe. Robe que mes doigts soulèvent pour trouver sa peau, tâter sa culotte de coton avant de s’y engouffrer. Mon majeur s’engage dans le sillon fessier, chaud, tendre, charnu, me donnant une fabuleuse émotion. Je pénètre dans la naissance du monde, mais côté pile. Elle sort encore une fois de mon étreinte, ...
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