En permission
Datte: 12/05/2024,
Catégories:
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Collègues / Travail
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Humour
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Auteur: Vopicek, Source: Revebebe
... leur Peugeot familiale. Arrivés à bon port, ayant pris le soin d’acheter en route un bouquet de fleurs et une bouteille de grand vin, ils sonnent à la porte qui s’ouvre avec Jean-Louis pour les accueillir.
— Bonjour, soyez les bienvenues.
Bise par-ci, bise par-là, et tout le monde intègre le salon où les attend Doña. Agnès, dans un costume sobre, une vraie Andalouse, avec le regard plus fier qu’il ne devrait vu la suite prévue des événements.
Joseph, très galant, se fond d’un baisemain très classe et voit la peau du bras parcourue par un frisson.
Il lui offre évidemment le bouquet de roses rouges à trente euros de chez Carrefour. Quittant l’air hautain qu’elle avait à l’arrivée, devant tant de civilité, elle redescend de son nuage et tend sa joue pour la bise habituelle.
— Mon mari m’a mise dans la confidence et je crois que bientôt, nous devrons nous retirer pour constater s’il y a des atomes crochus entre nous.
— Pour ma part, je vous trouve non pas belle, mais splendide.
— Pas mal non plus ! On verra cela après le repas.
Le repas se passe bien, mais dès la fin, Doña Agnès me prend par la main :
— Viens vite, je veux hurler de plaisir avant ta femme. Il faut qu’on gagne.
Partis dans cette direction, les fioritures ne sont plus de mises. Cependant, un petit cunnilingus me semble le minimum syndical, tout en la laissant jouer avec mes arguments. Elle ne se prive pas d’emboucher mon tromblon et de lui faire prendre une dureté remarquable. Sa moule est ...
... également très savoureuse ; si celle de mon amour a des senteurs légèrement vinaigrées, celle-ci est parfumée au gingembre.
Une fois les papilles satisfaites, les habits évacués, je peux admirer sa poitrine, elle me plaît, en dépit qu’elle ait bien quelques années de plus que moi. J’en profite pour sucer un mamelon qui me provoque dans son attitude hiératique.
— Allons, viens, j’ai la hâte de faire cocu mon mari. Depuis le temps que j’attends son accord.
En relevant ses jambes sur mes épaules, j’ai une vue complète sur le théâtre des opérations. J’aligne ma fusée à tête chercheuse sur son objectif et lentement abaisse la plateforme de lancement jusqu’aux abords de la zone de tir. Décidé, je plonge ma queue dans son con et entame de suite un mouvement de va-et-vient assez viril.
— Hum ! C’est bon, très bon, encore.
Je dois penser à autre chose, sinon la mayonnaise risque de prendre trop vite. Ah ! Oui, comment c’était l’expression aux dérivées partielles pour simuler le jet à la sortie de la tuyère lors de la postcombustion ? Il faut que je cherche à aligner les formules et mes souvenirs de physique des fluides à haute température, parce que là, je sens mon fluide de plus en plus turbulent ou plutôt turburapide.
Avec bonheur, je la sens partir vers d’autres cieux, le visage dans les étoiles. Sa figue pompe littéralement mon sexe, c’est difficile de rester concentré sur autre chose pour ne pas se laisser prendre trop tôt. Enfin, son orgasme se termine et j’ai ...