1. En permission


    Datte: 12/05/2024, Catégories: fh, ff, hh, 2couples, frousses, couplus, extracon, cocus, Collègues / Travail danser, odeurs, caresses, Oral 69, hdanus, hsodo, échange, init, Humour libercoup, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... les caresser.
    
    Devant tant de familiarité, je n’hésite pas et je me saisis de ses arguments virils. C’est déjà pas mal dur.
    
    — Mets-toi sur la table, j’ai envie de déguster ta moule, il paraît que les rousses ont un fumet très agréable.
    — Certains l’affirment et d’autres non, cela dépend des goûts de chacun, je lui réponds en grimpant sur son bureau et en ouvrant mes jambes.
    — Bon Dieu que c’est appétissant et joli ! me répond-il en passant d’abord un doigt le long de ma fente. C’est encore un peu sec, mais on va remédier à ça.
    
    Sans attendre plus longtemps, il commence à me lustrer les grandes lèvres avec la langue, elles ne tardent pas à s’humidifier en conséquence, puis il fait un détour prolongé sur mon bouton d’amour. C’est moins jouissif qu’avec Lina, mais ce que j’ai devant moi, ce dard arrogant, suffit pour me faire mouiller comme une vraie salope. Sentant que je suis prête pour passer à la casserole, comme on dit. Il se redresse :
    
    — Viens, on continue sur le lit.
    
    Il me couche sur le dos et, sans plus attendre, il me pénètre. Elle est bonne sa queue, bien vigoureuse.
    
    L’excitation est en train de se transformer en orgasme. Ça y est, je grimpe, pas aux rideaux, car il n’y en a pas dans un sous-marin, mais c’est tout comme. Je me déchaîne en remuant du cul jusqu’à ce que la crampe divine me saisisse. Des étoiles défilent devant mes yeux, les papillons deviennent complètement tarés dans ma minette. L’examen est réussi avec la mention bien pour lui, mais ...
    ... je remarque qu’il est toujours bien dur et n’a toujours pas éjaculé. Il continue à piocher fermement ma moule et je repars dans la galaxie du bonheur. Finalement, c’est ensemble qu’on termine. Je sens les jets puissants qui arrosent mon intérieur. Il faut dire que pendant qu’il m’entreprenait, je n’ai pas eu une pensée pour mon chéri que je venais de cocufier. Je n’étais concentrée que sur l’objet qui me travaillait. Je ne peux m’empêcher de lui nettoyer ce qui m’avait fait tant de bien.
    
    J’ai la preuve que les hommes sont bien interchangeables pour le plaisir. Une fois le tout terminé, je retourne dans ma cabine où Lina m’attend, les poings sur les hanches.
    
    — Tu viens d’où ?
    — Il faut que je te réponde ? En quoi cela te regarde ?
    — Mais, je me faisais du souci, je ne t’ai trouvée nulle part.
    
    Elle me prend dans ses bras et me roule une pelle.
    
    — Pouah ! Ta bouche sent l’homme.
    
    Sans me laisser le temps de me ressaisir, elle me met la main au panier et introduit son majeur dans ma moule encore bien grasse du sperme du commandant. Elle le porte sous son nez et puis à sa bouche.
    
    — Pas de doute, tu viens de forniquer ! Cela pue l’homme.
    — C’est très bien, comme cela, je pourrais dormir tranquille.
    — Salope, me faire cela, à moi !
    — Écoute, on n’est pas mariées. Ce n’est pas parce que, quelquefois, je me suis laissé aller que j’ai changé de bord. Je suis et je reste hétéro.
    — C’est avec qui ?
    — C’est avec quelqu’un qui ne te regarde pas.
    
    Là se termine mon ...
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