En permission - Histoires de Sexe

En permission

... intimité avec Lina. Malgré son clitoris saillant, elle ne fait pas le poids avec la bite du commandant.

La soirée suivante, je veux la confirmation de ma bonne impression. Je les retrouve, à nouveau avec Louis, les deux en train de terminer une partie de cartes.

— Louis, je ne te retiens pas, il faut que je voie encore avec la quartier-maître certains détails pour notre arrivée à Toulon.
— Si tu as besoin de soutien, je suis là, mais pas fatigué. N’oublie pas de faire appel à mes services au cas où !
— C’est bon, merci de ta proposition.

Lentement, il range son paquet de cartes et s’en va en se retournant une dernière fois en tortillant du cul.

Je ne peux m’empêcher de remarquer :

— Il marche comme une gonzesse qui est en manque.
— Il m’a rendu certains services, comme Lina avec toi.
— Ah ! Vous vous êtes enculés ?
— C’était à sens unique, mais son cul n’est pas comparable avec ta moule.1
— L’allusion est parfaite, comme ta bite avec le clito long de Lina, il n’y a pas photo.
— Que penses-tu de ma proposition d’avoir deux conjoints… un sur terre et un en mer ?
— Que du bien, il faut que tu viennes avec ton chéri chez moi pour encourager ma femme à ce partage.

Après une nuit très orageuse, les reins en compote. Il n’y en a eu plus d’autres jusqu’à Toulon. On débarque et il me donne ses coordonnées à terre.

J’ai annoncé à mon chéri mon retour, mais sans préciser exactement quand, et, en entrant, j’ai une surprise : cela sent une odeur féminine, je ...

... dirais plutôt la poule de luxe. À voir, je ne suis peut-être pas la seule à ne pas avoir la patience…

— Coucou, chéri, me voilà !

Pour ne pas le mettre mal à l’aise, je m’exclame :

— Je vais sous la douche !

Je n’ai pas envie qu’il sente le mâle sur moi. Une minute plus tard, j’entends une voiture qui sort de son garage et il rentre dans la douche dans le plus simple appareil.

« Bon Dieu qu’il est craquant, mon mec ! » Avais-je le droit de faire ce que j’ai fait ? Enfin, on dit que quand le vin est tiré, il faut le boire.

— Depuis le temps que je rêve de toi, je vais te savonner à fond, tu seras comme neuve après tous ces mois passés dans ton sous-marin avec tous ces mariniers qui te tournent autour. J’en suis presque jaloux.
— Moi aussi, je rêve depuis trois mois d’être à nouveau dans tes bras. Les autres mecs me semblent bien fades en comparaison. De toute façon, je partageais ma cabine avec une marinière qui, je dois l’avouer, ressemble plus à un garçon qu’à une fille. Et moi, ai-je des raisons d’être jalouse ?
— Je suis resté sage comme une image
— Un peu comme le parfum de brise printanière qui embaume l’entrée ?
— Ça, ce n’est rien, c’est la factrice qui m’a apporté un recommandé.
— La poste a fait des grands progrès, ils travaillent même le dimanche.

Le pauvre, il ne sait comment se sortir du pétrin qu’a causé ma venue un peu trop tôt – ou tard – pour le flagrant délit.

— Mais cela ne fait rien, de toute façon, il faut qu’on aborde ce sujet. ...