Préparatif et départ pour l’Érinland
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fh,
couple,
cocus,
enceinte,
vengeance,
dispute,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
historique,
historiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... chaussure et son bas, sans qu’elle trouve objection à, ce que pour faire sa jupe soit troussée fort haut. Il lui frictionne délicatement la cheville.
— Cela va-t-il mieux ?
— Un peu. Je vous remercie.
— Cela devrait vous faire encore plus de bien.
Ce disant, il se penche, et tout en continuant le massage, il embrasse l’endroit. Elle laisse échapper un léger : « Oh ! », mais ne se dégage pas. Insensiblement, les baisers remontent le long de la jambe et atteignent le genou, puis la cuisse, sans qu’elle s’en offusque. Il faut avouer qu’elle trouve cela plaisant. Quand il s’arrête, elle en est assez dépitée. Aussi, quand il s’assoit à ses côtés et l’embrasse, n’oppose-t-elle aucune défense. Ce n’est que lorsque leurs lèvres se séparent qu’elle murmure :
— Est-ce bien séant ?
— Cela vous soulage-t-il ?
— Oui.
— C’est que la médecine est bonne. Il faut poursuivre le traitement.
Incontinent, il l’embrasse de nouveau. Elle partage cet avis et répond avec ardeur. Il s’agenouille de nouveau devant sa belle et reprend ses baisers là où ils s’étaient arrêtés. Léonore se laisse aller en arrière, il en profite pour tirer sur ses dessous. Devant juger qu’elle a besoin d’un traitement de choc, d’un petit mouvement du bassin, elle l’aide en son entreprise.
Les confidences que lui ont faites Audrey et sa belle-sœur l’ont mise dans les meilleures dispositions. Quand les lèvres de Louis-Auguste se posent sur son intimité, elle frémit. Quand la langue entre en jeu, elle ...
... frissonne. Quand icelle débusque le bouton magique, elle se pâme. C’est encore meilleur que lorsqu’elle le fait avec ses doigts. Ce que la veille encore elle avait pratiqué avec beaucoup d’allant. Pourquoi cet imbécile de Bernardin n’avait-il pas procédé ainsi ? se demande-t-elle. Son bassin s’anime d’une houle qui devient tempête au point que son partenaire doit se cramponner pour poursuivre son œuvre bucco-linguale. Après une succession de « Oh oui ! » et de « Mon Dieu ! », et sur un dernier « Ouiii ! », elle se tend comme un arc avant de retomber, haletante.
Ses esprits repris, elle pense au jeune homme qui vient de lui donner du plaisir et qu’il serait bon qu’elle lui rende ses gracieusetés. Elle le fait asseoir, s’agenouille à son tour, et se rappelant les confidences, elle entreprend de défaire sa culotte. Elle en extrait un vit déjà dressé et entreprend de le lécher, le sucer, le pomper non sans que ses mains s’activent. Elle n’avait jamais vu la chose de si près, n’en ayant jamais eu l’occasion avec son époux.
Elle ne doit pas trop mal s’y prendre, car Louis-Auguste a l’air de moult apprécier sa prestation. Elle doit cependant s’affairer de longues minutes avant qu’il ne lui dise :
— Ça vient.
Elle sent le sexe tressaillir avant de cracher de longs jets se répandant dans sa bouche et s’écrasant sur ses lèvres. Elle n’en trouva pas le goût malgréable6. Aussi avale-t-elle sans difficulté et lèche-t-elle ses babines. Ils se préparent à poursuivre sur le chemin ...