Potes de foot
Datte: 08/05/2024,
Catégories:
fhhh,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... les yeux, je sens que ça va être le repas le plus pénible de ma vie !
Je me tourne vers Pierrot :
— Comment ça, pénible ?
— Attends, avoir sous le nez une belle femme d’enfer à poil et en porte-jarretelles, et devoir rester gentleman ? Désolé, c’est pas trop mon fort !
— Ah oui ? Tu fais quoi dans ce cas ? Tu repars chez toi ?
— Tu me prends pour un débile, Arthur ? Pouvoir reluquer à mon aise ta femme durant tout un repas, je prends… à défaut de la prendre, elle !
Martial rigole :
— Sur la table, entre la poire et le fromage, je présume ?
— Bien avant la poire et le fromage, Martial ! Écoutez les gars, je ne m’en suis jamais caché : Vivianne, j’ai toujours eu une envie folle de la baiser, c’est clair. Et tout le monde le sait. Même toi, son mari.
Interpellé par mon voisin, je lâche :
— Je sais, Pierrot. Mais entre dire et faire, il y a une marge.
— C’est vrai. Mais comme punition, ta femme a fait fort ! Chapeau ! Putain, mon zob me fait mal !
Tout le monde se tait. Nous nous regardons, c’est bien la première fois que nous sommes tous plongés dans une grosse expectative, une sorte de carrefour donc nous ne savons pas quel chemin il nous faut emprunter ensuite.
Claquant deux fois dans ses mains, Richard rompt le silence :
— Nous pouvons la prendre à son propre jeu…
— Ah bon ? Comment ça ? Accouche !
— Ôtons nos vêtements.
— Pardon ?
Comme frappé par le Saint-Esprit, Martial s’exclame :
— Oui, c’est une idée géniale, Richard ! Comme ça, ...
... ça fera un partout, match nul !
— À poil, nous tous ?
— Attends, à poil, on l’est tous quand on revient dans les vestiaires prendre une douche après un match. On sait exactement à quoi on ressemblein naturalibus.
— Oui, mais là, c’est un repas, pas une douche.
— Et alors ?
Fébrile, Martial se tourne vers moi :
— Toi, t’en penses quoi ?
— C’est vrai que…
— De nous tous, c’est toi qui connais le mieux Vivianne…
— Oui, ça peut le faire…
Reprenant la main, Pierrot tend les bras :
— Alors, faisons-le !
Puis le silence retombe dans la salle à manger.
Quand Vivianne revient dans la salle à manger avec un plateau garni, elle marque un temps d’arrêt. Le temps est à nouveau suspendu. Nous sommes un peu inquiets, j’ignore franchement quelle sera la réaction de ma femme au fait qu’elle fait face à cinq hommes nus, dont certains ne sont pas précisément au repos !
— Hahaha ! Ah les cons !
Ma femme pose son plateau sur la table, afin de rire de tout son saoul. Quelque chose me dit que c’est parti sur la bonne voie. Mes voisins respirent mieux.
— Ah les cons !
Vivianne essuie ses yeux du revers de la main, puis elle soupire abondamment :
— Bien joué, Messieurs !
Elle en profite pour admirer les cinq anatomies masculines qui lui font face, elle ne se gêne pas de bien scruter la marchandise. Vivianne s’offre même le luxe de proférer quelques commentaires :
— Eh bé, je ne savais pas que tu cachais un tel machin, Richard !
— Je ne te le cache plus, ...