1. Potes de foot


    Datte: 08/05/2024, Catégories: fhhh, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... situation lui plaît. Une fois la Chantilly disparue, Antoine recule un peu la tête :
    
    — Pour te remercier.
    
    Puis il dépose un long baiser appuyé en plein beau milieu de la toison bouclée. Vivianne le gronde à sa façon :
    
    — Allez ouste, sale gosse ! Retourne à ta place !
    
    Ma femme continue à faire le tour de la table, toujours suivi par tous les regards masculins. Puis nous tournant le dos, elle dépose une noisette de Chantilly sur le haut de son sillon fessier.
    
    — Puisque tu ne parles que de cul, c’est à ton tour, Pierrot.
    — C’est avec grand plaisir que je vais te lécher le cul, ma jolie !
    
    En effet, Pierrot a dit vrai, si j’en crois l’ardeur qu’il met à laper la Chantilly. Je crois même qu’il s’est offert le luxe de glisser sa langue un peu plus vers le bas, mais je n’en suis pas certain. De plus, ma femme n’a rien dit, mais elle n’a pas beaucoup protesté quand Antoine a déposé son bisou en plein dans son triangle.
    
    — Allez, c’est fini, Pierrot ! Si tu continues comme ça, tu vas finir par me raboter les fesses !
    — Oui, t’as raison, ça serait dommage, un si joli petit cul rebondi !
    — Petit, c’est vite dit.
    — C’est affectif, ma jolie !
    
    Maintenant, Vivianne s’approche de Richard. Je me demande bien avec quelle partie de son corps ma femme va maintenant jouer. À ma grande surprise, elle couvre ses lèvres de Chantilly, puis approche son visage de celui de Richard. Celui-ci comprend cinq sur cinq le message, et se fait un plaisir de déguster la crème ...
    ... offerte, ainsi que les lèvres en dessous.
    
    Je fronce un peu des sourcils : les tétons, OK, c’est gentil. Le pubis, ça va encore. Les fesses, ça passe. Mais les lèvres, je trouve ça intime !
    
    Quand Richard a fini de débarbouiller à sa façon et avec application la bouche rosée de ma femme, Pierrot demande en rigolant :
    
    — Et pour Arthur, ce sera quoi ?
    — Là, rien. Mon mari, c’est quasiment tous les jours qu’il a droit à quelque chose.
    — Oui, c’est vrai ! Il profite tous les jours et toutes les nuits ! Mais je ne lui jetterai certainement pas la première pierre : moi-même, je ferais la même chose, et même pire !
    — Je sais, Pierrot, t’es qu’un gros obsédé ! C’est peut-être pour ça que tu ne sais pas retenir longtemps une femme.
    
    Surpris par cette riposte, Pierrot grimace. Antoine en profite pour enfoncer le clou :
    
    — C’est aussi parce qu’il court plusieurs lièvres à la fois !
    — Hases !
    — « Az » ? C’est de l’anglais ou quoi ?
    — Non, c’est la femelle du lièvre, ignare. J’suis pas homo, moi !
    
    Tout le monde se met à rire.
    
    Altière, Vivianne fait à nouveau le tour de la table, suivie par cinq paires d’yeux, et visiblement, ça lui plaît d’être depuis le début du repas et le centre du monde, voire de l’univers, il n’y a qu’à voir l’expression de contentement qui s’affiche sur son visage, sans oublier ses yeux qui brillent. Ce n’est pas tous les jours qu’une femme se fait désirer par cinq mâles qui ne demandent qu’à lui rendre hommage !
    
    Avec deux hommes en plus, nous ...